Science, Pokémons et bizarreries

Bonjour à tous !

Ma meilleure amie et moi-même comptons ouvrir une pension sous peu et comme il se passe toujours beaucoup de choses à proximité des pokémons, on s'est dit que l'on devrait partager cela avec vous.
Que ce soit des découvertes, des moments inoubliables, toutes les choses étranges que l'on pourrait rencontrer...Nous vous partagerons tout cela au travers ce blog et bien plus !

Une petite présentation s'impose donc. Ma meilleure amie s'appelle Minami Rikka et je suis moi-même Dhyana Sheu-Fuh. Nous cherchons actuellement le meilleur terrain pour notre pension où vous trouverez tous les soins nécessaires pour l'amour de vos petits et grands copains pokémons. N'hésitez pas à nous poser des questions ou des demandes, il nous fera plaisir d'y répondre :)


Mon premier sujet sera donc un pokémon très particulier : j'ai nommé mon bien aimé Na'krul ! Voici à quoi ressemble ce petit coquin :

N'est-il pas trognon ? Et ben, non !
Ce petit diable est un véritable démon et il arrive à faire peur même à plus grand et plus chevronné que lui ! Pour tout vous dire : il arrive même à effrayer Minami et moi-même ! Ce magnifique papilussion aux ailes iridescentes possède tout un caractère. Un vrai tyrannocif !

En fait, c'est assez étrange puisqu'il déteste tout simplement qu'on utilise quelque qualificatif de beauté que ce soit pour parler de lui. Beau, mignon, superbe...oubliez ça !

Sinon, vous finirez entoilés et probablement oubliés sous un arbre de sa part. C'est un guerrier, un vrai qui deviendra tout simplement enragé s'il vous entend parler de lui ainsi.
Envoyez le se battre contre n'importe quoi, même un rapasdepic : il n'hésitera pas. Mais jamais il n'approchera d'une salle de concours de beauté pokémon...Étrange, nest-ce pas ?

C'était donc notre première bizarrerie sur les forums. N'hésitez pas à commenter ou partager vos propres expériences de ce type, en attente de notre prochain article  ! Bonne journée !

En parlant de Pokémon dont le caractère ne correspond pas à l'espèce... J'ai été surpris de découvrir en me promenant sur les forums que les Pijakos sont "supposés" être dociles et joueurs. Le mien est, comme ton Papillusion, un vrai guerrier. Quand je l'ai rencontré il s'était attaqué à un Pokémon qui devait avoir facilement 30 niveaux de plus que lui. Il y a laissé des plumes, et je l'ai capturé pour pouvoir le soigner. Maintenant c'est de très loin celui de mes Pokémons qui aime le plus les combats.

Est-ce que c'est une "bizarrerie" ? Ou une preuve qu'il ne faut pas se fier aux clichés, et que l'apparence ne détermine pas le caractère... Les humains adorent enfermer les gens dans des clichés, essayons de ne pas faire de même pour nos Pokémons.

Allô Ariel,

Ton Pijako semble être tout un numéro oui! Personnellement, sans être une “bizarrerie” j’aurais tendance à dire que ton jolie volatile est l’exception qui confirme la règle. Même si une espèce est classée avec des traits généraux, ce qui facilite souvent le travail des chercheurs ou des dresseurs débutants, il y as toujours quelques représentants de la dite espèce qui échappe à ces critères.

Et c’est ce que nous adorons n’est-ce pas? Chaque Pokémon, avant d’être un représentant de sa race est sa propre entité à part entière. Ils existent autant de caractère différent chez eux que chez nous les humains. J’appuie donc ton point, ne les enfermons pas dans des clichés préfabriqués. Même si ces donnés générales sont la pour aider, il faut garder en tête qu’elle ne sont que cela, une base d’idée, pas un fondement inébranlable!

Et comme je suis curieuse, aurais-tu à tout hasard une vidéo ou une photo de ton Pijako?

Et me revoici avec un nouveau sujet à vous partager les amis !

J'ai capturé ce matin une piafabec au comportement bien étrange. Je n'ai malheureusement pas de vidéo pour vous montrer celui-ci mais je parie que vous serez tout à fait capable d'imaginer par vous-même la scène.

Juste avant le combat où je l'ai capturé, elle s'est placée en face de l'un de mes propres pokémons et elle a passé le bord de son aile sur gorge. Comme un humain qui ferait cela avec sa main dans le signe de vouloir égorger quelqu'un.

Elle est très agressive oui comme la plupart des membres de son espèce mais ensuite, c'est un facepalm qu'elle s'est fait toujours avec son aile. Vous imaginez ça ?

Je me demande donc si elle a déjà eut un dresseur avant moi. Minami avait envisagé cette possibilité aussi pour l'un de ses pokémons qui a un comportement trop humain pour son espèce. Je la laisserais cependant vous en parler si elle le souhaite.

Avez-vous vous aussi des pokémons qui agissent ainsi ? En avez-vous déjà vu en pleine nature ? C'est étrange que, s'ils sont abandonnés : il soit de nouveau possible de les capturer. Qu'en pensez-vous ?

Je crois que le phénomène de capturable ou non est lié au SIS. Lorsque l'on capture un pokémon, son ADN doit être mémorisé dans l'immense base de données Sunrise. En le libérant, ils enlèvent l'ADN de la base de données.

Cela doit être pour éviter qu'un dresseur A capture un pokémon d'un dresseur B! Je n'ai pas de pokémon qui a des agissements humains ainsi sauf une. Mais elle, elle a vécu auprès de ma famille et d'une version évoluée de son espèce pendant 5 ans avant de se laisser intégrer par une pokéball il y a quelque mois. Ce sont des choix conscients pour chacun. Pour la plupart, je crois qu'ils font cela dans le but que nous, simples humains incapables de les comprendre, puissions arriver à comprendre leurs intentions.

Bonjour à tous chers lecteurs et lectrices !

Je sais, je sais : nous avons pris beaucoup de temps depuis notre dernière publication. Il s'est passé tellement de choses ! Alors j'espère que vous ne nous en voudrez pas trop. Il y a tant à vous parler du coup que vous serez probablement enchantés d'en apprendre plus avec nous !  Vous allez voir, je suis certaine que vous aimeriez les nouveautés du jour !

La plus grande nouvelle : la pension de l'île de Crystal est enfin en cours de construction ! Nous serons bientôt ouvert sur l'île du même nom et vous pourrez venir nous visiter en prenant un bateau du port d'Haiki. Minami ou moi y sommes très souvent présentes mais au besoin, n'hésitez pas à convenir d'un rendez-vous avec nous pour vous en assurer ! Nous sommes régulièrement sur les routes après tout et ce serait particulièrement dommage pour vous de nous manquer, n'est-ce pas ? Autant que cela le serait pour nous, j'en suis certaine ! Aujourd'hui, je ne suis cependant pas là pour vous parler de cela. Non, je viens vous parler d'une zone que j'ai fréquenté plusieurs fois lors de mon voyage de dresseuse débutante. Je parle de la route E3 en Asie. Une petite merveille pour les dresseurs qui se sentent prêts à affronter le monde si vous voulez mon avis.

Outre qu'elle est moins dangereuse que Tokyo et les ruines qui la composent : on peut quand même y observer quelques vestiges du passé avec une sécurité bien plus efficace. Des morceaux de murs et parfois de façades de maison sont encore très présents lorsque l'on est encore proches de la ville d'Ykito. Plus on s'en éloigne et plus la nature reprend ses aises avec des praires et quelques bosquets d'arbre autour du sentier que peuvent emprunter les dresseurs. On finit même par entendre et sentir l'océan quand on arrive au bout de cette route et croyez-moi : ça fait du bien après ces quelques heures de marche !

Quel meilleur moyen pour délasser ses pieds fatigués que de les tremper dans un bon bain d'eau de mer ? Je n'en connais pas beaucoup de meilleurs et surtout qui plairont bien plus au voyageur fatigué ! N'hésitez pas à faire essayer à vos pokemons ! La majorité d'entre eux, même les pokemons feu, aimeront cela. Les plus frileux seront des pokemons roches ou sol qui voudront peut-être moins le faire et dans ce cas, je conseille de ne pas les forcer. Qui plus est, cette route a une variété de pokemons très diversifiée. Les pokémons qui y vivent sont accessibles à des dresseurs qui ont pris la route depuis quelques temps déjà voir même qui débutent.

On peut y rencontrer deux espèces de nidoran et le mâle est le seul occupant de la route que je n'ai pas encore croisé. Sérieusement, chers lecteurs, de belles petites joues, des moustaches frétillant doucement, une petite corne pointue et deux yeux rouges débordant de malice : que rêvait de plus de la part de la magnifique créature qu'est la nidoran femelle ?! On dirait un petit lapin trop mignon et si le mâle a un coloris fuschia de ce que j'en sais, la femelle tire plus sur le violet pale. Ne vous méprenez pas cependant sur leur air totalement trognon : ils peuvent être de vraies petites brutes de combat et feront d'excellents pokemons pour les dresseurs débutants.

On peut aussi rencontrer deux sortes de volatiles sur cette route : les roucool qui sont réputés être faciles à dresser et deviennent de très bon compagnons, et les piafabecs qui sont bien plus caractériels. Les deux font d'excellents compagnons à plumes pour qui cherche un pokémon vol. Leur gros avantage ? Une fois qu'ils auront fini d'évoluer, ils peuvent tous deux servir de monture pokemons pour ceux qui voudraient conquérir les cieux.

Le dernier occupant de la route que j'ai put croiser se dénomme rattata. Ce petit rat mauve est commun en Asie et se trouve dans de très nombreuses places. Sa fourrure mauve et crème est très douce au toucher et comme ils sont plus intelligents que l'on peut le pensait à première vue : là encore, cela ferait un parfait compagnon pour un dresseur débutant. Leur évolution disposerait d'ailleurs d'attaque qui, si elles sont bien utilisée, pourrait faciliter les captures.

Et voilà, c'est tout pour aujourd'hui en espérant que vous avez pris plaisir à découvrir l'un des endroits de l'Asie. Ils sont nombreux et si tous ne sont pas accueillants pour les débutants : ce n'est pas le cas de cette route qui est tout à fait abordable pour ceux qui ont commencé leur voyage il n'y a pas si longtemps que cela ! Quelles sont les routes à qui vous donneriez vous-même cette appellation ? Est-ce qu'il y a le même style de route par chez vous ? Ce ne serait pas étonnant que chaque continent ait sa propre version de ce type d'endroit ! Je pourrais aller les visiter avec vous pour en parler, qu'en pensez-vous ? N'hésitez pas à commenter et poser vos questions : Minami et moi y répondrons toujours avec grand plaisir. Bonne journée à tous !

Bonjour à tous chers lecteurs et lectrices !

J'espère que vous allez tous bien et que vous avez bien progressé depuis la dernière fois que nous nous sommes parlé? Je m'excuse pour ce si long silence : mes dernières chasses aux bizarreries et aux pokémons m'ont malheureusement entrainé assez longtemps dans une région du monde qui ne capte malheureusement pas l'internet si généreusement fourni par nos réseaux SIS.

Devinerez-vous de quelle région d'Asie dont je parle ? Allez, je vous donne quelques indices ! La zone de chasse se situe dans une région à la fois montagneuse et aquatique. Les falaises qui la composent s'enfoncent profondément sous le niveau de la mer et seule une très petite portion du territoire est balisée afin que les dresseurs en tout genre puissent s'y aventurer pour y chercher les nombreuses espèces de pokémons qui s'y trouvent. Avez-vous trouvé ? Je parle des célèbres galeries rocheuses de Luan-zhen bien entendu !

Avec tout ce qui s’y est passé ces dernières semaines, j’aurais de quoi vous parler plusieurs semaines de sujets différents. Alors plutôt que de faire plusieurs mini articles de blog : je me suis dit que vous en préfériez une série d’un peu plus longs pour vous entretenir de tout cela ! Je vous épargnerais la majorité des termes scientifiques. Il y a bien assez de monde dans notre communauté de têtes pensantes pour discuter entre eux et pas assez pour vulgariser les informations afin que tous les comprennent puissent en bénéficier à mon goût !

Comme leur nom le suggère, ces galeries sont principalement accessibles par la ville de Luan-zhen. En Asie bien entendu. Il est cependant tout à fait possible de trouver des entrées partout sur l’île puisque les galeries s’étendent sous toute la surface de celle-ci. Les tunnels sont en général assez grands pour que l’on puisse s’y déplacer sans aucun souci. Quand on sait que ce sont des onix qui les creusent : on comprend vite pourquoi !

Aux abords de l’entrée surveillée et protégée par les humains, il est facile de trouver de l’électricité pour les lampes disséminées de-ci de-là par les explorateurs et mineurs qui surveillent et protègent ce lieu. Plus on s’enfonce et plus les traces d’activités humaines disparaissent. Je vous conseille donc de vous munir d’un bon casque de protection – les chutes de rocher y sont assez fréquentes et je ne souhaite pas que l’on perde le moindre lecteur ainsi ! – et d’une lampe à recharge manuelle. Ainsi, vous ne manquerez jamais de lumière pour vous déplacer !

Des craies ou un moyen écologique de marquer le chemin pour vous y retrouver est aussi un excellent ajout à votre sac de provisions pour cette aventure ! Je vous conseille très volontiers la peinture écologique de ma collègue Minami Rikka ! Elle se dégrade naturellement après un certain temps et vous pourrez sans peine vous retrouver puisqu’elle s’illumine grâce aux particules la composant lorsque vous passerez la lumière de votre torche dessus. Un vrai miracle technologique !

Les galeries peuvent parfois être inondées, que ce soit en partie ou en totalité. Ma collègue et moi-même avons croisé carrément une rivière aquatique ! En règle générale, plus vous descendrez profondément dans le réseau de galeries et plus vous aurez de chance de tomber sur une zone couverte d’eau. Douce ou salée d’ailleurs, les deux s’y retrouvent. La flore locale se compose principalement de champignons et de lichens qui apprécient tout particulièrement les différences d’environnement que l’on rencontre en descendant de plus en plus bas.

La faune y est aussi très diversifiée puisque l’on peut y rencontrer des renards de feu connus sous le nom de goupix tout autant que des chauves-souris appelées nosferapti ou encore de mignonnes petites créatures nommées mélofée. Ces derniers viendraient de la lune selon la légende et se seraient retrouvés sur notre monde après un écrasement. Étrange non ?

Le reste des pokémons que j’ai put y rencontrer et qui sont censés être originaire de la zone sont des monstres de poche de type sol. S’ils disposent parfois d’un double type couplé avec un autre élément, la moitié de la faune locale se concentre sur cet élément.

La corrélation avec un monde rocheux et souterrain n’est-elle donc pas évidente à faire ? Ces pokémons préfèrent un environnement plus terreux et sous la surface contrairement à nous autres humains qui préférons généralement voir le soleil régulièrement.

J’ai aussi eut le plaisir de faire d’autres rencontres lors de mes voyages dans ces galeries mais ceci, mes chers amis, ce sera pour une autre lecture ! Bonne fin de journée à tous et n’hésitez pas à réagir à l’article ! Il fait toujours plaisir à Minami et moi de vous lire !!

Salutations à tous nos lecteurs !

Les fêtes de fin d'année se sont bien passées chez vous ? J'espère que le cadoizo de noël vous a gâté autant que vous le méritiez ?

Dans l'article d'aujourd'hui, je vais vous parler d'un sujet qui me tient particulièrement à cœur et que j'ai énormément pratiqué avec ma famille durant la fin d'année. Vous devez vous demander ce dont il s'agit n'est-ce-pas ? La cuisine ! Autant la notre que celle de nos compagnons pokemons dans ce premier sujet.

Le premier principe a utiliser en cuisine pour une nourriture à la fois attractive, saine et nutritive : ce sont bien entendu les ingrédients. Prenez-les de première fraicheur afin de garantir un apport maximal à ceux qui mangeront vos bons petits plats. À la pension, nous faisons nous-même pousser nos fruits et légumes d'ailleurs afin d'assurer une traçabilité et une provenance sans pesticide ni produits chimiques à nos croquettes pour pokemon. Si vous n'avez pasla possibilité de le faire vous-même, je recommande d'autant plus fortement une inspection avant de les utiliser, et un nettoyage aussi pour les fruits et légumes. Les engrais et produits utilisés pour protéger ou faire pousser les ingrédients de base de notre nourriture sont malheureusement bons pour eux mais peuvent se révéler toxiques autant pour nos pokemons que pour nous. Une bonne technique pour les nettoyer sans trop se forcer, c'est d'utiliser l'une des solutions ci-dessous, suivant vos moyens.

La première méthode, c'est d'utiliser de l'eau tiède à froide, du vinaigre et du bicarbonate de soude. On compte 10cl de vinaigre et 3 cuillères de bicarbonate pour un litre d'eau. Mélangez bien évidement le tout avant de mettre les fruits et légumes dans votre bac. Une fois que le trempage d'une vingtaine de minutes sera effectué, pensez à rincer sous l'eau avant d'essuyer avec un torchon propre. C'est une méthode facile d'utilisation tout comme la seconde puisque tout bon cuisinier aura du bicarbonate ou de l'ingrédient suivant dans son garde-manger !

La seconde méthode donc, c'est d'utiliser là encore de l'eau tiède à froide et du citron cette fois-ci. Cette façon de faire est particulièrement adaptée aux fruits fragiles qui n'aimeraient pas être trempés longtemps. Donc utilisez volontiers cette façon de faire pour vos fraises, framboises, mures ou encore myrtilles. On compte un citron pressé par 750ml d'eau pour cette solution. Si on souhaite que le mélange soit encore plus efficace, on peut rajouter du vinaigre blanc dans celui-ci, sous proportion de 25cl. Pensez dans un tel cas que la quantité d'eau diminuera en conséquence. Là encore, c'est très simple : vaporisez vos fruits avec le mélange d'eau et de citron puis faites les rouler doucement dans un linge propre pour les faire sécher.

La troisième méthode en surprendra plus d'un. Il s'agit d'un mélange d'eau et...de liquide à vaisselle. Non, non, ce n'est pas une blague ! Le liquide à vaisselle est assez doux pour être utilisé avec les fruits et légumes tout en permettant de les nettoyer efficacement ! Enfin, je ne recommanderais quand même pas cette méthode pour les fruits fragiles. Préparez-vous une brosse imprégnée d'eau et d'une seule goutte de liquide à vaisselle. Vous n'aurez plus qu'à brosser vos fruits et légumes avant de les rincer puis de les essuyer avec un torchon propre.

La quatrième méthode est aussi assez étonnante puisqu'il s'agit là encore d'eau tiède à froide et cette fois-ci, de sel. La proportion de mélange à faire est de trois cuillères à soupe de sel pour un litre d'eau. Frottez comme il le faut vos fruits et légumes dans le mélange avant de les rincer et de les essuyer. Cette méthode peut tout particulièrement s'utiliser en voyage puisque nous emportons généralement tous du sel avec nous lors de nos transports qui doivent durer quelques jours !

La dernière méthode, tout aussi naturelles que celles jusqu'à maintenant présentées, est d'utiliser d'eau toujours tiède à froide et d'y ajouter du vinaigre de cidre. Si vous ne savez pas ce qu'est le vinaigre de cidre, voici une rapide définition : c'est un vinaigre fabriqué à partir de jus de pomme fermenté. Dans cette solution-ci, on compte 25cl de vinaigre par litre d'eau. Il vous suffit de plonger vos fruits et légumes dans le mélange et de les frottez. Laissez-les ensuite tremper pour un quart d'heure à vingt minutes. Il vous suffira ensuite, comme dans presque toutes les méthodes de cet article, de les rincer à l'eau claire et de les essuyer. Encore une fois des plus simples, n'est-ce pas ?

Et voilà, vous aurez ainsi des ingrédients prêts à être utilisés et nettoyer parfaitement pour votre cuisine. Quoi ? Vous ne trouvez pas cela assez scientifique à votre goût ?! Qui d'entre vous penserait que les composants chimiques de chacune des solutions - attention, je parle bien du mélange de plusieurs composés et non pas de la méthode permettant de se sortir d'un problème - agissent entre eux et les produits présents sur la peau de vos fruits et légumes pour permettre de dissoudre ou détacher ces dits produits de vos ingrédients ?
La science ne veut pas forcément dire compliqué et vous en faites vous-même tous les jours sans même vous en rendre compte ! J'espère donc que cet article volontairement simpliste vous aura donné le goût d'en savoir plus ! Ne vous inquiétiez pas, le prochain article sur ce sujet vous parlera de comment utiliser vos ingrédients maintenant qu'ils sont prêts. Serez-vous prêts à relever mon défi de cuisiner vos propres croquettes pokemons ?!

Amis du soir, bonsoir !

Minami, ma co-propriétaire de la pension et de ce blog de discussion venant de me donner durant notre dernière chasse une idée tout particulièrement brillante (elle en a l'habitude, c'est un vrai génie après tout !) : je ne pouvais pas passer à côté de commencer une série d'articles sur le sujet. Vous allez voir, cela va être passionnant. Promis ! Certains d'entre vous connaissent-ils le conte du magicarpe que tout bon professeur de biologie se devrait de conter au moins une fois à chacune de ses classes ? Pour ceux qui l'ignorent voici une version quelque peu résumé du dit conte.

Saviez-vous qu'au plus loin que nous portent nos archives, les magicarpes n'existaient pas ailleurs qu'en Asie ? Nos gros poissons rouge et jaune nationaux ne s'épanouissaient que dans les eaux de notre belle région et il était alors totalement impossible d'en trouver sur les autres continents. Vint alors quelques explorateurs qu décidèrent d'en adopter. Pour leur défense, il faut que dire qu'ayant vu de si mignons, cutes et adorables bébés magicarpes moins gros qu'une main : ils ne purent résister à l'idée d'emporter un souvenir d'Asie chez eux qu'ils pourraient mettre dans leur aquarium personnel. Quel plaisir après tout de ramener un souvenir qui leur rappellerait leur voyage tous les jours !

Une fois rentrés chez eux, ils étaient aux petits soins avec les magicarpes. De minuscules bébés, les poissons devinrent de beaux et gros spécimens. À tel point que l'aquarium du premier explorateur ne suffit plus. Plutôt que de garder le poisson dans sa baignoire, il eut donc l'idée d'aller le porter dans la mare proche de chez lui pour qu'il puisse y vivre plus heureux. Cela finit par arriver au second. Puis au troisième. Et à plusieurs autres qui n'avaient absolument pas prévu la taille gigantesque que ce pokemon peut avoir. Les rivières, les lacs et autres points d'eau finirent par avoir des poissons qui se regroupèrent en reconnaissant des membres de leur espèce. Devenant de vraies terreurs, ils se mirent à faire la loi.

Étant bien plus gros que la majorité de la faune des lieux, les magicarpes prospérèrent et se reproduisirent.  Alors qu'en Asie, leur population était contrôlée par leurs prédateurs naturels : leur nouvel environnement ne disposait pas de cette parade pour se défendre. Rapidement, ils s'installèrent partout en prenant pour eux les ressources qui autrefois permettaient à tant d'espèces différentes de vivre en harmonie. Ne pouvant lutter, les espèces dont ils prenaient la niche se mirent rapidement à décliner. La fuite restait encore la meilleure option pour s'installer ailleurs puisqu'elles ne disposaient d'aucun moyen de se défendre face à un poisson qui a un appétit de ronflex et qui a la merveilleuse adaptabilité qui lui permet de vivre tant dans un environnement salé que dans l'eau la plus douce qu'il soit. Le chanceux !

Désormais partout, le magicarpe innocemment envoyé aux ordures ou si l'on souhaite être plus poétique "retourner au monde naturel" avait conquis l'Europe et l'Amérique du nord. Il semble moins présent en Amérique du Sud et les scientifiques ne savent pas encore si c'est simplement que cette zone est encore trop sauvage pour être étudiée correctement à son sujet ou s'il aime moins les environnements chauds de cette région.

Quelle est la morale à cette histoire me direz-vous ? Réfléchissez-y un peu très cher lecteur. Un geste inconscient peut relâcher dans la nature un individu ou un groupe d'individus qui, puisqu'il dispose d'outils que n'ont pas les autochtones : peut prendre le dessus et bouleverser complètement le fragile équilibre que la nature a patiemment construit. Uniquement à cause de l'être humain. Ne dit-on pas que le battement d'une aile de papilusion peut causer un ouragan en Amérique ? C'est exactement la même chose ! Un geste qui paraissait pourtant tout à fait anodin peut avoir des conséquences si grandes qu'elles pourraient déstabiliser un écosystème au complet.

Un conte reste une histoire basée sur les faits réels et nos lecteurs des deux continents autres que le notre pourront confirmer l'histoire en croisant eux-même cette espèce de pokemon lors de leur parcours des arènes. Si vous voyez un tel comportement, s'il vous plait mes très cher lecteurs : parlez-en. La personne qui le fera ne saura probablement pas les conséquences à long terme que son geste peut avoir. Donc gardez les yeux ouverts mes chers amis et à bientôt pour un nouvel article !

Ps : si vous aimez ce type d'article, n'hésitez pas à m'envoyer vos contes et vos propres histoires ! Avec un peu de recherches, je pourrais bien écrire un article et vous citer au travers du texte :D ! Cela vous ferait-il plaisir les amis ? Alors à vos crayons, claviers et autres outils SIS !

Bonjour à tous amis de la science et des pokémons !

Ce matin, j'étudie un phénomène bien étrange pour en savoir plus sur le sujet afin d'apprendre à fabriquer la capsule technique de Mega-Sangsue quand le temps sera venu. Elle sera bientôt disponible, j'en suis certaine, dans la boutique de la pension si certains seraient intéressés !

Je me suis dit que le sujet vous plairait peut-être donc...nous voilà partis dans le monde fantastique des plantes ! Pour commencer, avez-vous déjà observé une plante de près ? Avez-vous remarqué qu'elles sont toujours composées des mêmes éléments ? Cela vaut autant pour les pokemons que pour les plantes non conscientes qui peuplent votre jardin. Il y a toujours un corps ou un tronc si vous préférez et des feuilles ou un champignon. Le cas de ces derniers étant différents, nous ne les observerons pas dans cet article aujourd'hui.

Les trois pokemons plantes qui font partie de la pension sous ma direction actuellement sont bien composés ainsi. Mon joliflor est celui qui a le plus évolué contrairement à mon chétiflor ou mon ceribou. Ces deux derniers disposent d'un corps avec très peu de feuilles : deux pour chacun d'entre eux uniquement. Comparé à eux, le joliflor dispose pas moins de dix feuilles ! Avez-vous remarqué la même chose avec vos pokemons ? J'ai très hâte de connaitre vos réponses à ce sujet alors n'hésitez pas me les envoyer.

Je vous mets ci-dessous une feuille vue au microscope pour que vous puissiez mieux comprendre ce dont je vais vous parler. Notez qu'aucun pokemon n'aura été maltraité puisqu'elle provient du pré à côté mon laboratoire ! En présence de lumière naturelle, les cellules de la feuille réagissent. Avec les tests déjà effectués, je peux vous indiquer que la lumière non naturelle ne fonctionne presque jamais pour activer cette capacité de photosynthèse. Certains experts disent qu'une lumière dans un ton de rouge particulier arriverait à la déclencher mais je n'ai encore jamais put observer le phénomène moi-même.

En présence de lumière naturelle comme je le disais donc, les cellules de la feuille vont se mettre à réagir chacune à leur manière. Une cellule est un tout petit composé de la plante, parmi les plus basique. L'ensemble des cellules ensemble donne ce que vous yeux perçoivent comme la feuille. Certaines s'agitent et bien que nous ne pouvons pas le voir à l’œil nu, les cellules ont chacune leur type de réaction qui permet à terme de créer de l'énergie. Deux d'entre elles relâchent un composé. Quand ces deux matériaux se rencontrent, ils fusionnent ensemble et forme un autre composé qui permet lui en se dégradant de créer de l'énergie. C'est le miracle de la photosynthèse !

Avez-vous déjà vu un pokemon plante utiliser l'attaque croissance ? C'est exactement ce que la photosynthèse fait en plus rapide ! Les feuilles de nos amis pokemons deviennent tout d'un coup bien plus grandes et sont gorgées à ras-bord d'énergie. Nos compagnons transfèrent celle-ci dans tout le reste de leur corps afin de gagner une puissance qu'ils n'avaient pas auparavant. La plupart semblent plus gros après cette attaque et je constate personnellement que leur coloris sont vraiment plus vifs après une telle attaque. Pour ceux dont les pokemons plantes disposent de fleurs, avez-vous remarqué la douce fragrance qui s'en échappe alors ?

Les plantes ne se nourrissent qu'ainsi. On estime donc que les feuilles leur sont essentielles afin de pouvoir canaliser l'énergie du soleil pour produire leur propre énergie. Notez bien qu'il leur faut certainement autre chose dont nous n'avons pas encore conscience actuellement. Sinon, ce serait bien trop beau et elles domineraient encore plus qu'actuellement notre chère planète. Est-ce que les pokemons plante font de même me demandez-vous ? Malheureusement, non. La plupart de nos compagnons de ce type ne disposent pas que de celui-ci. Cela influence fortement leurs capacités et leur façon de se nourrir. Beaucoup vont justement manger des plantes qui se trouvent dans la nature car le soleil seul ne suffira pas à les alimenter en énergie. Il faut dire que nos compagnons se dépensent beaucoup plus que les plantes qui restent sans vraiment bouger toute la journée à seulement prendre le soleil et les intempéries ! Obligatoirement, la dépense d'énergie est plus grande.

Les différences entre les pokemons de ce type et les plantes ne sont pas si grandes, qu'en dites-vous mes chers lecteurs ? C'est tout bonnement fascinant de voir ce qui nous rattache au monde naturel autour de nous et comment certains pokemons ont put évoluer en liaison avec celui-ci. Que ce soit en le copiant ou simplement parce que des plantes ont un jour pris conscience de ce qui les entouraient et ont formé une première génération de pokemon de ce type. Nous ne saurons certainement jamais qui est arrivé en premier bien que cela ne nous empêche certainement pas de nous poser la question ! Comme souvent, mes amis, je conclurais donc sur une note positive qui devrait vous faire réfléchir. La plante ou le pokemon, qui était là en premier ?

Mes plus chères salutations, mes lectrices et lecteurs assidus ! Et bien entendu, un bonjour tout aussi amical à tout nouveau venu qui se serait perdu sur le réseau de Sunrise et nous rejoindrait aujourd'hui !

Vous souvenez-vous qu'il y a quelques semaines, je vous avais parlé de la première étape pour préparer de la nourriture pokemon afin d'améliorer le quotidien de vos compagnons de tout poil, peau lisse,écailles, plumes et autres que j'oublierais de nommer ? Et bien aujourd'hui, nous aborderons la suite de cette série d'articles ! Quelle est-elle d'après vous ? Je vous entends d'ici avec l'utilisation des ingrédients ? Et bien non ! Détrompez-vous car il faut plus que des fruits et légumes frais, en plus des ingrédients de base comme toute préparation se doit d'avoir, pour produire de la nourriture parfaite pour vos amis de tout genre.

En fait, il y a une autre étape à prendre en compte et qui est prioritaire. Les préférences alimentaires de vos compagnons. Avez-vous remarqué que chaque espèce de pokemon dispose d'une prédisposition bien particulière pour un type de régime en général ? Deux à la limite quand le premier n'est pas assez vaste pour lui permettre, au travers de son évolution naturelle, de se nourrir exclusivement de celui-ci. Où se renseigner sur celles-ci me demanderez-vous ? Les pages de vos SIS dûment remplies par notre communauté de scientifiques contiennent généralement ses informations aussi je vous inviterais à aller les visiter quand vous capturez un nouvel ami et que vous ignorez totalement comment bien prendre soin de lui.

J'ai cependant mené de nombreuses recherches durant mes études en élevage et mon enfance puisque ma mère adore tout simplement cuisiner des gâteries pour ses patients au centre de Ykito en Asie. Notez bien que le résultat de ces recherches que je vous partage est par fondement incomplet puisqu'il s'adresse par type de pokemon et que l'on a bien entendu des individus qui diffèrent énormément en tant qu'espèce et ce dans le même type de référencement.

Commençons par les trois types les plus connus : ceux que la société Sunrise offre bien volontiers dans tout centre pokemon pour toute personne souhaitant devenir dresseur ou dresseuse pokemon. On démarre par celui le plus présent dans mon pays de résidence : l'eau ! Que mange ce type d'après vous ? Les pokemons aquatiques peuvent se retrouver sur la terre ferme, dans de l'eau douce ou encore de l'eau salée. La plupart d'entre eux sont végétariens et leur mode d'alimentation dépend de quelle surface ils habitent. Ceux vivant à la fois en eau douce et terre ferme vont généralement préférer les plantes qui entourent leur lieu de vie. Pour ceux d'eau salées, ce sera plutôt les algues et le plancton qui seront préférés. Pour les carnivores, il peut y avoir des insectivores ou encore d'autres qui vont préférer manger de plus petits poissons qu'eux. Il y aurait même une espèce en Amérique du nord qui mangeraient les animaux qui s'approchent trop près du bord de l'eau !

Vient ensuite le type plante. Détrompez-vous là encore si vous croyez qu'ils ne sont capables de s'alimenter qu'avec la lumière du soleil tel que je parlais de la photosynthèse dans mon article précédent. Nos petites, moyennes et grandes plantes raffolent la plupart du temps de fruits, graines et plantes en tout genre. Un peu bizarre non comme idée qu'une plante puisse aimer manger une autre plante ? Certains auraient aussi une tendance insectivore comme une certaine fleur que l'on peut encore parfois retrouver en pleine nature et qui attirerait les mouches. Imaginez-vous un pokemon plante qui ferait de même et essayerait d'attirer les aéromites ?

Et enfin, un autre type extrêmement connu : celui du feu. Pour lui, le contenu de l'assiette se complique déjà puisqu'il existe comme pour le type aquatique autant de pokemons carnivores qu'herbivores dans cette facette. Les herbivores sont cependant peu représentés dans ce groupe de pokemons puisque la majorité sont carnivores et préféreront un bon steak cru qu'une assiette d'herbe tendre. Certains ont la particularité de vouloir manger des composants ou résultants de feu comme Dante mon wagomine qui adore le charbon. La communauté scientifique a même remarqué une certaine tendance insectivore pour ceux de nos compagnons enflammés qui possèderaient des ailes.

Puisque je manque de temps aujourd'hui pour terminer la liste de tous les types, je vous propose de se retrouver demain afin de continuer. J'espère que vous serez d'Accord et à très bientôt !

Bonjour à tous ma chère communauté ! Comme promis hier, je vous parle aujourd'hui de la suite de l'article sur la nourriture pokemon. Savez-vous que j'ai eut cette idée après avoir vu une cuisine dévastée par ma horde de compagnons ? Allez, on se replonge dans ce passionnant sujet !

Un autre type a posséder presque à l'unanimité des ailes est le type vol. Souvent, ce type est lié à un autre. L'aviez-vous remarqué ? Dans la gestion alimentaire par contre, il prend souvent plus de place que l'autre type. Cela est probablement dut aux méthodes de chasse pour lesquelles sont naturellement doués les membres de ce type. Je ne vous étonnerais certainement pas en vous révélant que la grande majorité des pokemons de ce type est insectivore et raffole des insectes en tout genre. Quand ce type est celui partagé avec le vol, les pokemons sont alors plus souvent tentés par des fleurs et leur nectar ou des fruits cependant.

Puisque nous parlons d'eux, passons aux insectes. Quelque soit leur forme : ceux-ci raffolent des plantes, des fruits et surtout du nectar des fleurs. Avez-vous remarqué que les corps de la plupart d'entre eux sont tout particulièrement adaptés à aller récolter celui-ci ? Avec le nombre impressionnant de papillons parmi ce type, c'est grandiose comme l'évolution les a doté des meilleurs outils pour survivre !

Qui dit insecte dit souvent poison. Voici un type bien plus difficile à définir en terme d'alimentation et de préférence. La plupart des pokemons de ce type vont manger tout et n'importe quoi. Particulièrement si quelqu'un d'autre considère cela comme un déchet. Ils ont un estomac capable de presque tout encaisser et on les trouvera justement souvent dans les égouts, les marais ou les endroits plus "sales". Contrairement à ce que l'on pourrait penser par contre, ils ne nettoient pas la zone où ils vivent. Cela aurait été fichtrement pratique sinon, vous ne trouvez pas ?

Passons au contraire du poison avec le type fée. Représenté sous une multitude de formes, ce type contient tout comme celui du feu autant des préférences carnivores que celles d'un autre type. Et non, pas le herbivore cette fois-ci mais bel et bien le frugivore. Et oui, les pokemons aux bouilles adorables que sont nos compagnons féeriques adorent pratiquement tout le temps ce qui est sucré. Et quel est le résultat naturel de notre mère nature qui est le plus sucré ? Les fruits, bien entendu.

Continuons une nouvelle fois avec leur contraire et passons des bouilles adorables à celles bien plus majestueuses des dragons. À ce jour, ce type est peu étudié vu que les dragons ne se révèlent souvent qu'après un développement très long. La majorité d'entre eux semblent carnivores et préférer la viande. Quelques membres cependant, comme le célèbre hyporoi, très certainement influencé par son double type aquatique préférera le plancton et les algues des fonds marins.

Passons à l'une des plus grandes peurs des dragons avec les pokemons de type glace. J'espère que vous n'avez pas froid aux yeux puisque la plupart d'entre eux vont avoir une nette préférence pour la nourriture gelée que celle à température plus standard contrairement aux autres types. Là encore, la diversité des espèces fait en sorte qu'il y a presque autant de pokemon carnivores que ceux herbivores. Leur souffle glacé leur permet en général de refroidir la nourriture efficacement pour en profiter suivant leurs préférences.

Quitte la blancheur de la glace pour sombrer dans les ténèbres du type qui porte ce nom. Contrairement à la majorité des espèces qui ont une préférence alimentaire en fonction de leur type : celui-ci, c'est tout le contraire ! La préférence des membres de cette catégorie de pokemon va toujours aller à son deuxième type ou son apparence. De grands crocs et des griffes pour déchiqueter ? Vous aurez un pokemon carnivore. De petites dents parfaites pour mastiquer ? Vous aurez alors un herbivore.

Passons à un type qui est souvent considéré très proche de celui des ténèbres et que je n'aime tout particulièrement pas cotoyer. Je veux bien entendu parler du type spectre. Celui-ci présente un cas totalement à part puisque la plupart des pokemons de ce type n'ont tout simplement pas besoin de manger au sens où nous l'entendons. Des recherches ont prouvé qu'ils ne se nourrissent généralement pas d'aliment physique mais plutôt de deux "ingrédients" très spéciaux. L'énergie que tout un chacun transporte et qui lui permet de vivre au quotidien est le premier de ces deux ingrédients. Le second est tout aussi complexe puisqu'il s'agit d'émotions. Étrange, n'est-ce pas ?

Filons de l'intangible au plus que tangible avec le type acier. Ce type de pokemons fait aussi partie des cas plus particulier. On dit souvent que l'on est ce que l'on mange, n'est-ce pas ? Et bien figurez-vous que certains pokemons acier, tout particulièrement ceux qui ne disposent que de ce type, apprécient tout particulièrement de manger du métal. Une vis équivaut pour eux à ce qui correspondrait à un bonbon pour nous. Notez bien que la plupart d'entre eux ne mangent pas que cela mais s'il y a bien un type qui peut nous aider à recycler de vieilles constructions avec le métal qu'elles contiennent : c'est celui-ci.

Il ne nous reste plus beaucoup de types à voir ensemble, n'est-ce pas ? Dirigeons-nous donc vers celui de type sol. Là encore, la maxime s'applique comme pour les pokemons acier puisque de nombreux pokemon de ce type mangent tout simplement de la terre et de la boue. En retirent-ils les nutriments et autres qui permettent à nos plantes de pousser ? C'est une bonne suggestion qui ne semble pas encore avoir été particulièrement investigué jusqu'à maintenant.

Passons tout de suite à leurs cousins de roche qui ont la même manie. Vous êtes-vous déjà arrêté devant un racaillou en train de chercher sa nourriture ? Il va soupeser toutes les roches plus petites qu'eux comme s'ils vérifiaient la maturité d'un fruit. J'ai même déjà put observer certains membres de ce type humait les rochers comme s'ils cherchaient à découvrir le nectar d'un bon vin ! Il est à noter que ce type mangera rarement autre chose.

Passons de la montagne au sensei qui apprend à s'y fondre pour augmenter la force de son mental avec les pokemons psychiques. Ceux-ci, tout comme les pokemons spectres dont nous avons précédemment parlé, semblent capables de se nourrir de l'énergie psychique des êtres vivants qui les côtoient. L'exemple le plus flagrant d'une telle alimentation est encore le soporifique qui aime endormir ses cibles pour dévorer leurs rêves et cauchemars. Rares sont cependant les membres de ce type à ne se contenter que de cela pour vivre. Je n'ai pour le moment rencontrer aucun carnivore parmi ce type. À croire que leurs grands pouvoirs mentaux leur a fait développer un dégout pour la viande.

Il ne nous reste que trois types à couvrir ensemble alors commençons par celui électrique. Il est courant de voir un pikachu se recharger en se branchant sur une prise électrique. S'il y a bien un pokemon que vous ne devez pas avoir peur de mettre la patte dans une prise, c'est celui-ci. Cependant, l'électricité ne suffit pas à ce type pour se nourrir. Ce type comprend autant plus de frugivores et de carnivores que d'herbivores. Je ne désespère pas encore de rencontrer l'un d'entre eux qui se contenterait d'herbe !

Par après, voilà que nous avons le type combat à explorer. Étonnement pour ces pokemons souvent plus musclés que la majorités des autres types de prime abord : il y a peu de carnivores parmi eux. La plupart sont en effet adeptes de fruits. Peut-être est-ce là leur moyen de conserver une ligne d'athlète idéale ?

Vient enfin le dernier type, celui des pokemon normal. Alors lui...c'est un cas à part dans le sens qu'il peut couvrir presque l'ensemble des préférences alimentaires des autres types ! Tout dépendra de la forme corporelle de l'espèce. Il conclut notre tour d'horizons des types et je vous donne un défi d'ici le prochain article de cette série sur la nourriture pokemon. Au vu des informations que vous venez d'apprendre aujourd'hui : quels ingrédients pourriez-vous utiliser pour remplacer certains de ceux que vos pokemons iraient chercher naturellement ? Nous ne ferons après tout pas de croquette avec un clou ou un gros rocher à l'intérieur alors réfléchissez-y dès maintenant cher lecteur. Et à bientôt !

Bonsoir chers lecteurs et lectrices !

Je viens tout juste de terminer un stage d'études au domaine De Luca en Amérique et je ne pouvais pas attendre. Il fallait que je vous partage quelque chose que j'ai appris sur place. C'est tout bonnement incroyable et je suis certaine que vous allez adorez. Littéralement ! Vous êtes prêts pour un nouvel article vous expliquant la science là où vous ne vous y attendiez pas ? Alors allons-y !

Si je vous parle de baies : voyez-vous ce que c'est ? Ces fruits poussent un peu partout dans le monde et bien que certaines zones aient plus de variétés que d'autres : c'est quasiment immanquables d'en voir à un moment ou un autre lorsque l'on s'aventure en dehors des cités connues. Les baies poussent autant à l'état sauvage qu'avec l'aide d'une main humaine. Saviez-vous d'ailleurs que l'on dit d'un humain qui arrive à faire pousser des plantes qu'il a le pouce vert ? Pourquoi simplement le pouce et pas la main ? Je l'ignore totalement ! L'un de vous connaitrait-il l'origine de cette expression par hasard ?

Enfin, revenons sur les baies. À ce jour, j'ai put en dénombrer pas moins de soixante-six espèces différentes. Je ne les ait pas toutes croisé moi-même, loin de là. Il y en a tellement que je ne sais même pas si j'aurais la place sur l'île de cristal de faire pousser au moins un arbre de chaque ! Notez bien mes chers lecteurs que je cherche d'ailleurs les types de baies que je n'ai pas encore rencontré personnellement. La liste complète des noms des baies ainsi que des images (pour la plupart des cas) sera présente à la fin de ce billet de blog. Si jamais vous tombez dessus lors de vos voyages : vous voulez bien noter la localisation et me prévenir ? Ou mieux, m'en envoyez un exemplaire soigneusement cueilli et emballé ? Vous seriez trop chou !

Revenant sur les types de baies les plus communs que l'on risque de croiser. Tout d'abord, il y a la baie oran. De forme ronde et d'un bleu foncé, c'est un fruit qui est tout sauf sucré. Elle soigne quelques blessures sans problème et est l'ingrédient de base de la majorité des potions fait à partir de vrais ingrédients. Dans le même ordre, vous pourriez rencontrez la baie sitrus. Celle-ci ressemble plus à une poire avec avec sa forme dodue et sa couleur jaune picotée de marron/orange. Bien plus sucrée que sa congénère, elle dispose d'une capacité de soin bien plus efficace et immédiate. Ces deux baies sont les seules qui soigne directement la force vitale aussi je recommande d'avoir toujours sur soi de ce médicament bien naturel.

Les autres types de baies les plus connues sont celles qui permettent de soigner un statut. Vous savez ce qu'est un statut n'est-ce pas ? C'est lorsque votre pokemon subit un état tout sauf normal. Les plus évidents à reconnaitre sont ceux de gels ou de brulure. À chaque statut sa baie, bien évidemment ! Nous allons toutes les voir ensemble, promis ! Pensez à prendre des notes d'ailleurs ou garder l'article dans vos favoris, qui sait s'il pourrait vous être utile pour soigner votre pokemon !

Commençons par celle rouge à tige verte qui est connue sous le nom de baie ceriz. Oui oui, similaire au fruit de par son apparence ou son nom (qui finit d'ailleurs par un "z" plutôt que par le "se" habituel). Elle a un petit goût épicé qui réchauffera volontiers tous les plats que vous pourriez cuisiner. Et oui ! En plus d'être des plus utiles, chacune des baies peut s'utiliser en cuisine au quotidien !!! Enfin, revenons sur l'utilité en soin de la baie ceriz. Celle-ci guérira rapidement la paralysie. Vous aurez peut-être un peu de mal à faire ouvrir la bouche de votre pokemon alors qu'il tremblera sous les chocs électriques alors n'hésitez pas à l'écraser pour en faire un jus. C'est valable pour la majorité des baies ! Et si vous ne pouvez pas le faire boire à votre pokemon ? Étendez-lui dessus comme si c'était une huile à massage !

Il existe une autre sorte de baie guérisseuse. Mais au lieu de soigner l'énergie vitale, elle permet plutôt à nos compagnons de regagner un peu de leur énergie élémentaire. La baie mepo ressemble à une grosse cerise avec son corps rouge et jaune surmontée de petites feuilles vertes. Elle combine plusieurs goûts et s'agence bien à plusieurs plats.

Vient ensuite la baie maron. Ne vous laissez pas confondre avec la couleur surtout ! Elles me font un peu penser à une toupie dans leur apparence. Leurs couleurs se divisent d'ailleurs en deux à peu près à la moitié de leur corps. Un bleu-violet sur le dessus et un beige pale sur le dessous. Elles soignent le sommeil et ont un goût particulièrement âpre.

Voila ensuite que nous en sommes à une de mes baies préférées à manger telle quelle. La baie pêcha. En forme de fraise avec la collerette de feuilles verte et leur couleur rose pâle tachée de beige, leur corps est très facilement écrasable alors faites attention en les manipulant. Elles sont sucrées au goût et ont l'avantage de soigner le poison. J'en garde toujours quelques unes sur moi que ce soit pour un snack ou guérir mes pokemons d'un état particulièrement désagréable.

Il y a une autre baie qui a relativement une forme de fraise. Vous ne pourrez cependant pas la confondre avec le fruit vu qu'elle a un corps bleu avec des feuilles vertes. Très amère, au point qu'il vous faudra probablement la mélanger avec une autre baie pour que votre compagnon accepte de la gober, elle est par contre très utile puisqu'elle soigne les brulures.

Nous allons parler désormais d'une baie que j'ai déjà vu mais que je n'ai jamais utilisé encore. La baie willia est toute ronde avec une petite tige. Elle est de couleur jaune pikachu avec des cercles vert tendre. Elle est très acide de ce que mon professeur m'a appris et surtout : elles soigneraient le gel. N'ayant encore jamais eut aucun de mes pokemons qui ait subi ce statut : je ne peux vous dire si c'est rapide ou non. Par contre, cela doit être particulièrement difficile de faire manger cette baie au corps ferme à un pokemon congelé donc les astuces que j'ai cité pour la baie ceriz s'appliquent aussi !

Dans les statuts, il ne nous reste à explorer ensemble qu'une seule sorte de baies. La baie kika. Oui, je suis d'accord avec vous mes chers lecteurs : elle a un nom bizarre. Son corps est totalement rose avec trois mini feuilles au sommet. Je vous dirais bien qu'elle est aussi étrange que ce qu'elle guérit puisque son domaine, c'est d'enlever la confusion à un pokemon. Bonne chance cependant pour qu'il vous écoute et ouvre la bouche !

Et enfin, il ne nous reste qu'une baie à voir. Elle est extrêmement rare et pour cause : elle soigne tous les statuts quelque qu'ils soient ! Son corps est de couleur vert pomme et elle est ferme sous les doigts. Celle-là, si vous la trouvez : évitez quand même de dégarnir l'arbre au complet ! Prenez en plutôt un ou deux exemplaires et plantez les proches pour répandre de nouveaux arbres !

Et voilà qui conclut cet article sur les baies. J'espère que cela vous aura plut mes fidèles lecteurs. À bientôt !

Mes chers lecteurs,

Aujourd'hui je vais vous parler d'un sujet qui me tient particulièrement à cœur. Et pour cause : je le vis au quotidien très régulièrement. Savez-vous ce qu'est une phobie ? Si j'en crois la définition donnée par le dictionnaire de mon SIS, c'est tout simplement une peur morbide, une angoisse éprouvée devant certains objets, actes ou encore situations. Laissez-moi vous dire que je trouve cette définition particulièrement minimaliste.

Rien que la peur déjà, qu'est-ce que c'est ?! C'est une émotion, souvent forte, qui accompagne la prise de conscience d'un danger potentiel. Là encore, cette définition me provient du dictionnaire et est ridiculement résumé. La peur, celle intense, c'est celle qui vous prend aux tripes. Qui fait en sorte que les battements de votre cœur s'affole. Que l'adrénaline coule dans vos veines pour essayer de vous en sortir. Que votre souffle soit si perturbé que vous pourriez avoir des difficultés à respirer. Les larmes peuvent même se mettre à couler sous cette émotion qui peut nous faire figer sur place ou au contraire nous donner des ailes. On aura beau se dire d'être courageux, cette peur restera toujours là en arrière plan. Dans un sens, c'est très sain d'avoir peur. C'est après tout un réflexe tout à fait naturel de notre corps !

Une phobie peut avoir plusieurs aspects et surtout, plusieurs niveaux ! On catégorise en général les peurs d'un niveau de un à dix. Si le niveau le plus faible est simplement d’appréhender l'objet de la peur et de se faire des scénarios dans notre tête - n'avez-vous jamais eut peur de ce que vous pourriez voir dans un miroir la nuit quand vous allez à la salle de bains à moitié réveillé ? - les autres niveaux gagnent très vite en intensité.

Le deuxième grade parle déjà plus d'un élément de phobie puisqu'il s'agit de croire que le sujet éprouvant cette peur ne pourra pas contrôler la situation dans laquelle il la rencontre. Et ce, même si la personne sait pertinemment qu'il n'y aucun danger à craindre ! On commence déjà à voir que la raison dans un tel cas se fait plus faible en général que le sentiment ressenti.

Vient ensuite une autre peur associée à cela. Si les deux premiers niveaux sont assez discrets en général pour ne pas être remarqué par le commun des mortels, le troisième niveau d'effroi est justement que les autres le remarquent. Ce n'est déjà pas facile de ressentir une phobie mais c'est encore bien pire si les gens autour le remarquent ou se moquent. Et oui, malheureusement, certains d'entre nous cherchent plutôt à dévaloriser la personne qui ressent cela qu'à l'aider. Le pire est que souvent, ce n'est même  pas conscient. Riez-vous quand vous voyez quelqu'un se casser la figure ? Vous pouvez de même rire face à quelqu'un qui a peur puisque pour vous : il n'y a pas de raison d'être effrayé.

Le quatrième niveau est celui où commence réellement les ennuis. La personne pense ne jamais être capable de s'en sortir. Imaginez-vous déjà ressentir une telle peur qu'elle vous cloue sur place mais en plus ne pas être capable d'envisager qu'il puisse y avoir une solution ? Affreux, n'est-ce pas ?

Le niveau suivant s'approche de la panique petit à petit. Si les quatre premiers niveaux sont souvent contrôlables par la personne, rien ne va plus à partir de ce degré. La situation est jugée intolérable par la personne qui va souvent ressentir des frissons, trembler ou encore se sentir vraiment mal. En arrivant à ce niveau de peur, certaines personnes seront capables de demander de l'aide pour s'en sortir. Pas toutes malheureusement.

Au niveau six de la peur, si vous me suivez toujours mes chers lecteurs assidus, on commence à craindre de perdre le contrôle. Le corps a envie de passer en mode "automatique" car la raison n'est plus capable de gérer ce qui lui fait peur et les sentiments que cela provoque.

Au point que ceux qui atteignent le niveau de frayeur au dessus se demandent même s'ils ne sont pas devenus fous. Notez bien que la conscience se rend compte qu'il y a quelque chose d'anormal et qu'une partie de la raison n'est déjà plus là. Mais la personne est obnubilée de plus en plus par sa peur et n'arrive plus à avoir les idées claires.

Les trois derniers niveaux sont encore plus intenses. Pour le septième, la frayeur est tellement grande qu'un seul ordre parvient encore au cerveau. Fuir. Envers et contre tout. Certains gardent encore une conscience, d'autres sont en mode automatique à cette étape. Cela varie d'un individu à un autre.

Les deux derniers niveaux, j'en parlerais ensemble. L'individu pense réellement qu'il va mourir. Il lui est impossible de voir qu'une sortie existe même si elle sera directement devant ses yeux. Certains croient qu'il est possible de mourir d'un tel niveau de peur. Le cœur lâcherait tout simplement sous une telle pression. Pour l'avoir vécu, j'aurais plutôt tendance à dire que c'est le dernier niveau qui pose de réels soucis. Puisque le cerveau est persuadé qu'il va mourir, les inhibiteurs de danger que l'on a tous inconsciemment ne font plus effet. Avez-vous déjà pensé vous précipité vers le danger sans même vous en rendre compte ? C'est ce qui attend les malheureux qui vivent cette expérience.

Les niveaux que je viens de vous décrire m'ont été prescrits par un docteur il y a longtemps pour tenter de dédramatiser la situation face à ma peur. Et ainsi essayez de la contrôler et la ramener à un niveau plus "socialement" acceptable. Vous reconnaissez-vous dans certains d'entre eux ?

Voilà en tout cas ce qu'est une phobie. Une peur telle que je vous souhaite de ne jamais la ressentir. Je ne vous dirais pas sur quel sujet porte la mienne mais je vous enjoindrais à aider une personne si vous la voyez recroquevillée dans un coin en train de pleurer toutes les larmes de son corps. Vous ne saurez peut-être pas pourquoi elle aura peur mais vous pourriez bien être la main tendue qui lui permettra de s'en sortir. Pensez-y chers lecteurs et à bientôt.

Mers très chers lecteurs et lectrices !

Après le dernier sujet un peu plus sombre, je me suis dit que j'allais égayer un peu votre journée ! Je vais vous parler d'une particularité encore souvent méconnue de nos amis les pokemons. Quelque chose d'excessivement rare et peu commun mais que l'on a assez souvent croisé dans la communauté scientifique pour avoir tenté d'étudier le phénomène en question. Enfin, nos informations sont encore très parcellaires alors si jamais vous aviez des chances de croiser le phénomène en question...N'hésitez surtout pas à prendre des photos, vidéos et notes puis à me contacter !

Avez-vous remarqué que l'ensemble des pokemons d'une même espèce porte très peu de différences de coloris entre eux ? Une krabby aura par exemple toujours sa carapace rouge même si elle peut varier de teinte. Celui de mon amie Minami par exemple était d'un un teint orangé lorsqu'elle l'a capturé alors que le mien est bien rouge flash. C'est pareil pour les autres espèces que vous pourriez rencontrer lors de vos aventures. Il est même parfois difficile de différencier deux pokemons vu le peu de changement de l'un à l'autre !

Il existe cependant un fait avéré qui change tout cela. Parfois, en de très rare cas, une variation de coloris va naitre au sein de l'espèce. En général, si ce n'est pas du moins la première fois que vous tombez sur l'espèce : vous la reconnaitrez aussitôt ! La plupart des changements sont tellement spectaculaires qu'il est impossible de les manquer.

Je prends comme exemple mon propre ponyta. À quoi pensez-vous qu'il peut ressembler ? Ah un ponyta, c'est certain me direz-vous mais moi je vous parle de ses couleurs. Un poney de feu standard disposera d'un pelage de couleur crème, de petits sabots noir et de flammes variant du jaune à l'orangé puis au rouge. Vous êtes d'accord avec moi ? Laissez-moi alors vous présenter une photo de Sleipnir !

Les différences sont assez évidentes vu que chacune de ses flammes oscille entre le bleu foncé au bleu pâle, n'est-ce pas ?! Son pelage et ses sabots sont des mêmes couleurs que la version "originale". Notez qu'elle a toutes les caractéristiques sinon des ponyta et que les pokemons variant aux niveaux des coloris ne changent pas sur ce point. Seule leur apparence est impactée par cette variation.

Ce changement de couleur porte un nom dans la communauté scientifique. On appelle ça un "shiny", bien que la communauté de scientifiques que nous sommes les appelle souvent aussi des pokemons chromatiques. Shiny, c'était un mot qui autrefois signifiait brillant. Une raison fort simple à cela : quand ils sortent de leurs pokeballs, un petit phénomène étrange se produit. Quelques étincelles brillantes entourent son apparition et c'est donc très potentiellement pour cette raison que le nom a été choisi en premier temps et lieu.

Cette variation étant excessivement rare, vous pourriez tout à fait ne jamais en rencontrer en pleine nature mes chers lecteurs et lectrices ! À ce jour, nous ne disposons pas d'assez d'informations sur cette particularité pour prédire ce qui peut disposer un œuf de pokemon à éclore en coloris normaux ou en couleur chromatique. Les rares apparitions de ses pokemons ont amené quelques uns de mes collègues scientifiques à calculer un taux d'apparition. Ne me demandez pas comment ils ont fait, je n'en sais absolument rien et je me dois donc de leur faire confiance sur leur rigueur d'études et que leurs paramètres étaient donc corrects. Ce taux d'apparition serait un seul pokemon chromatique pour environ quatre mille quatre-vingt-seize membres d'une espèce. Quand je vous disais que les shinys se faisaient excessivement rares, vous en avez la preuve chiffrée !

Amusons-nous à un petit jeu désormais mes chers lecteurs et lectrices. Quels coloris voudriez-vous avoir pour un pokemon shiny. Prenons les espèces les plus connues soient celles offertes en centre pokemon pour les dresseurs. Vous imaginez-vous un salamèche violet par exemple ? Un carapuce rose ? Un bulbizarre noir ? Ah lui, j’avoue qu'il serait particulièrement beau et que je ne dirais pas non à en voir un lors de mes voyages sur les routes ! Un gobou orange avec des bajoues vertes ? Que préfériez-vous vous-même ? Les goûts et les couleurs sont différents pour chacun d'entre nous à ce qu'il parait. Enfin, comme je le disais en début d'article : n'hésitez surtout pas à me contacter si vous en croisiez un par miracle sur votre route. Je serais très enchantée de réunir vos témoignages afin d'obtenir des données supplémentaires pour mon étude à ce sujet. Cela me permettrait aussi de savoir si ce phénomène est mondial ou s'il se contente d'être présent sur une seule région de notre grand monde. Alors à bon entendeur mes chers lecteurs et lectrices : je compte sur vous !

Mes très chers lecteurs et lectrices !

Comment allez-vous ? Bien je l'espère ! Pour aujourd'hui, je retourne dans un sujet un peu plus difficile car je crois qu'il pourrait vous aider avec vos propres compagnons pokemons. En avez-vous un d'entre eux qui peut changer de caractère et de personnalité du tout au tout ? Moi oui. Cette petite coquine s'appelle Hapy et c'est une psykokwak. Pour ceux qui l'ignoreraient, un psykokwak est un canard de type eau qui dispose de pouvoirs mentaux qu'il ne contrôle quasiment pas. Dans le cas de Hapy, c'est bien véridique. Un phénomène bien particulier se produit dès lors que je lui demande d'utiliser ses capacités mentales : elle change de caractère, son regard devient celle d'une vraie tueuse alors qu'elle est toute douce et gentille au quotidien et elle peut alors refuser mes ordres ce qu'elle ne fait jamais dans sa version "normale". Cela en est au point que je les différencie entre White Hapy et Black Hapy.

On appelle ce trouble de la bipolarité. Vous devez déjà vous douter de ce que c'est mais voyons ensemble la définition général de cette particularité. C'est caractérisé par une alternance d'épisodes maniaque ou hypomaniaque (dixit Black Hapy)et d'épisodes dépressifs entrecoupés de périodes relativement normales (dixit White Hapy). Si je connais le déclencheur de telles phases chez mon pokemon, ceux-ci peuvent être variables suivant l'individu.

Il existe en réalités trois types de troubles de la bipolarité. Le premier type est celui de l'épisode maniaque, celui qui m'arrive donc avec ma psykokwak quand elle a "deux câbles qui se touchent" si vous voyez ce que je veux dire. Le deuxième est au contraire celui de l'hypomanie qui est lié à la dépression. L'hypomanie représente un ensemble d'énergie excessive et d'humeur irritable, tous les deux persistants. Le troisième ne se nomme pas avec un chiffre mais avec le nom "cyclothymique" et alterne entre de la dépression et des temps plus stables de façon cyclique. Ce dernier est plus difficile à identifier que les deux premiers puisqu'il est plus discret et que puisqu'il revient régulièrement : les sujets l'éprouvant ont tendance à croire que cela fait simplement partie de leur caractère.

Voyons plus précisément les symptômes du type un afin de vous aider à les reconnaitre. Lors d'un épisode maniaque, qu'il soit joyeux ou dépressif, le sujet qui le subit va rencontrer des émotions extrêmes et souvent de l'hyperactivité. Ses idées de grandeur risquent d'être nombreuses et alors que l'on ne s'y attendrait pas forcément, il peut avoir des réactions hostiles ou particulièrement auto-destructives. Le sujet peut aussi avoir un très haute opinion de lui ou un optimisme totalement débridé. Notez bien que l'on parle d'épisode maniaque lorsqu'il s'agit d'une période délimitée dans le temps où au moins trois de ses symptômes sont reconnaissables. L'irritabilité extrême peut parfois aussi être un symptôme mais puisque celle-ci peut être vécue dans un autre contexte qu'un trouble bipolaire, on ne la compte pas comme un symptôme à part. Ces symptômes peuvent être tels qu'ils peuvent empêcher l'individu de fonctionner correctement au quotidien.

Le trouble bipolaire de type deux est d'apparence moins sévère pour l'individu qui le vit puisqu'il ne déconnecte pas de la réalité. Le sujet vit des phases de dépression majeure ou un épisode hypomaniaque. Un sujet subissant ce trouble ne vivra jamais d'épisode maniaque tel que le premier type de trouble bipolaire. Pour que vous compreniez mieux ce qu'est la dépression, c'est la perte de plaisir et une humeur triste soutenue pendant une longue période.

Le trouble cyclothymique "semble" là aussi moins sévère mais il est simplement plus difficile à reconnaitre en réalité. Il est tout aussi désagréable à vivre pour l'individu qui le subit puisqu'il s'agit de mouvement d'humeur alternant entre des périodes hypomaniaques et des périodes de dépression légères. La communauté scientifique considère que ce trouble est présent seulement si des cycles sont constatables durant une période de deux ans pour un individu adulte et une seule année pour les jeunes. Il faut bien entendu que les périodes décrites ci-dessus soient visibles au moins la moitié de ce délai.

C'est un peu triste tout cela quand on y pense, vous ne trouvez pas ? Avoir de la patience est indispensable pour vivre avec un individu présentant un tel trouble. Un scientifique se spécialisant dans les maladies de l'esprit m'a conseillé de ne pas réagir avec violence ou désespoir lorsque Hapy vit un tel épisode. Il faudrait surtout avec un certain détachement face à la situation, ce qui n'est pas facile. L'individu ne cherche pas vraiment à vous agresser : il n'est tout simplement plus en état de comprendre que son comportement devient excessif. Alors gardez courage si cela arrive mes chers lecteurs et lectrices et si vous souhaitez que je vous envoie les coordonnées de mon collègue scientifique : n'hésitez surtout pas à me contacter. Sur ce, je vous laisse et je vous souhaite une très bonne journée !

Bonjour mes lecteurs et lectrices adoré(e)s !

Puisque je suis dans une série d'articles sur quelques problèmes de santé ces derniers temps, je me suis dit qu'il y en aurait un que devrait lire tout dresseur en herbe qui débute ! Deviez-nous lequel ? Je parle d'un article sur les premiers secours bien sûr ! Qui ne s'est absolument jamais blessé lors de son aventure pokemon ? Nous avons tous récolté quelques bobos plus ou moins sévères lors des expéditions que l'on mène tous. Et comme lorsqu'on se lance pour la première fois sur les routes, on ne sait pas forcément quoi emporter...voici pour vous mes chers lecteurs et lectrices !

Quel serait l'article le plus évident d'après vous ? De quoi avons-nous le plus souvent besoin dans la vie ? De pansement bien sûr ! Puisque l'on ne sait jamais ce qui nous attend sur la route, je vous conseillerais d'en prendre de tailles diverses et assorties. Pensez surtout à ceux auxquels on ne pense jamais justement ! Comme ceux pour les bouts de doigts ou les jointures qui sont tellement désagréables à patenter nous-même quand on a le malheur de ne pas en avoir. Ne négligez pas ceux en bandes ou larges non plus. Ce sera beaucoup plus pratique que d'en mettre plein de petits si vous avez toute une zone à couvrir.

Le deuxième article et non moins indispensable, ce sont les bandages élastiques. Ils sont surtout utiles pour couvrir une blessure afin que celle-ci ne soit plus à l'air libre. Ou encore quand on veut pouvoir éviter qu'une crème on un onguent appliqué ne s'étale pas un peu partout en dehors de la blessure à soigner. Il est conseillé qu'ils soient emballés individuellement pour éviter qu,en soignant une blessure, vous contaminiez tout le reste de la bande.

Viennent ensuite l'outil que l'on a certainement le plus besoin après les pansements : les compresses de gaze stériles. Encore une fois emballées individuellement pour éviter de les contaminer en ne voulant en utiliser qu'une seule. Si vous ne savez pas à quoi elles peuvent servir, laissez moi vous donner quelques exemples : nettoyer une plaie, désinfecter la même plaie, appliquer une lotion, couvrir une blessure avant de mettre un bandage, et bien d'autres.

Jusqu'ici, nous sommes dans le plus facile à prévoir. On ajoutera aussi à sa trousse de premiers secours un produit désinfectant. Aucun d'entre vous ne voudrait voir une petite blessure s'infecter car elle n'a pas été nettoyée devenir un gros nid à bactéries. Saviez-vous que vous pouvez mourir ou que l'on peut vous amputer un membre à cause d'une blessure mal gérée et volontairement ignorée ?

Nous voici maintenant à ce que l'on ne penserait pas forcément trouver dans une telle trousse de premiers secours : une pince à épiler ! Une écharde, c'est détestable déjà naturellement. Une écharde qui resterait bloquée et s'infecterait ? C'est encore pire ! Voici quelques astuces pour les enlever d'ailleurs. Laissez tremper la zone où elle se trouve dans un bain d'eau savonneuse  ou d'eau chaude mélangée à du gros sel pour une durée d'une dizaines de minutes. Cela permet de ramollir la peau ce qui permet de retirer l'écharde plus facilement. Un autre truc et astuce de ma mère infirmière, c'est d'appliquer un morceau de pomme de terre, de banane ou de savon noir contre la zone avec l'écharpe et de le faire tenir toute une nuit avec un pansement. L'écharde irait toute seule se loger dans le morceau !

N'oubliez pas non plus d'ajouter quelques médicaments comme de l'anti-douleur ou une crème pour soulager les brûlures dans votre trousse de premiers secours. Vous serez bien content de les avoir sous la main quand vous en aurez besoin ! Parlant de médicaments, saviez-vous que la nature peut vous permettre de trouver ce dont vous avez besoin si votre trousse se vide en chemin ? Le miel est par exemple idéal pour soigner les petites blessures et écorchures. Il a naturellement une grande capacité antiseptique et aiderait les plaies à cicatriser. Il suffit d'en mettre sur une compresse, d'appliquer celle-ci sur la plaie puis de bander le tout. Il existe bien entendu d'autres aseptisant naturels. Le thym que vous pouvez trouver directement à l'état sauvage par exemple. L'argile peut vous aider à faire un cataplasme au besoin. L'argile verte est reconnue pour ses vertus anti-inflammatoire et cicatrisantes. Elle permet en plus de nettoyer les blessures en récoltant les petites saletés présentes dans celles-ci. Une dernière astuce à laquelle on ne s'atteindra certainement pas : pour les petites coupures superficielles comme lorsque vous vous coupez avec votre couteau en cuisinant et qui n'arrêtent pas de saigner, mettez tout simplement du poivre sur la blessure. Cela va rapidement arrêter le saignement !

Pour ceux qui ignoreraient en tout cas les principes de base avec une blessure bénigne et que vous pouvez donc traiter vous-même : on commence par nettoyer à l'eau pour enlever le plus gros, on désinfecte, si besoin on ajoute une lotion/un baume/autre qui serait nécessaire pour ensuite appliquer une gaze afin de protéger la blessure (là encore si besoin seulement) et on applique un pansement pour protéger la blessure !

J'espère que cet article vous aura plu et vous sera utile mes chers lecteurs et lectrices. À très bientôt !

Bonsoir mes amis lecteurs et lectrices en tout genre !

Comment allez-vous ? Bien j'espère ? En fouillant dans mes vieilles idées d'articles pour le blog ce soir, je me suis rendue compte que je n'ai jamais parlé de mon voyage dans les marécages de Yuuren en Asie. C'est toute une histoire que celle qui s'est passé là-bas. Êtes-vous curieux de la connaitre ? Ok, ok , je vous la raconterais en fin d'article.

Tout d'abord, je veux vous parler de ce qu'est un marais. Car oui, un marécage : c'est après tout un lieu humide ou s'étend justement des marais. Un marais, c'est donc une zone d'eau stagnante. Elle sera en général peu profonde et surtout : elle sera envahie par la végétation aquatique ou herbacée. On dit qu'il s'agit d'une zone humide justement parce que le facteur principal pouvant faire varier l'écosystème en place est l'eau. Saviez-vous qu'un marais peut contenir un certain taux de salinité? La salinité, c'est la quantité de sel dans l'eau. Et oui, un marécage n'est pas forcément constitué seulement d'eau douce !

Il faudra faire attention, mes chers lecteurs et lectrices, à ne pas confondre le marais avec un bayou ou encore une mangrove. Le phénomène des mangroves est tout bonnement exceptionnel mais je ne m'y attarderais pas spécialement dans cet article ci. Une mangrove, c'est une zone humide de marais maritimes comprenant un groupement de végétaux spécifiques qui se développe dans les zones de balancement des marées dans les régions tropicales de notre monde. Un bayou, par contre, est un terme que l'on utilise surtout en Amérique du Nord aux alentours du fleuve Mississippi. Alors que les marais sont constitués d'eaux stagnantes, un bayou a un très léger courant qui va et vient suivant les marées.

Les marais peuvent être constitués de grandes sections de tourbe. Saviez-vous que la tourbe peut servir à alimenter un feu et qu'elle a autrefois été utilisée comme isolant dans les huttes ? Elle a même déjà servi de toit en Europe à ce qu'il parait ! Les tourbières sont les sections du marais où l'on trouve la tourbe justement. Chose étonnante, la tourbe est en réalité une décomposition incomplète de matières organiques. Lorsqu'elle est humide, la tourbe s'agrandit et devient élastique. Elles forment ainsi de grands agglomérats dans les marais et sachez mes très chers lecteurs et lectrices qu'il serait tout à fait imprudent de vouloir marcher dessus. La tourbe ne supporterait pas votre poids et vous vous retrouveriez très vite à l'eau.

Dans les histoires, les marais sont souvent considérés comme toxiques à cause des vapeurs de décomposition de ses matériaux. À Yuuren, on retrouve cela dans les pokemons qui habitent sur place puisque la quasi totalité d'entre eux seront de type poison pur ou poison mélangé avec un autre type. Il n'y a que deux pokemons psy : le abra et le soporifik qui ne partagent pas cette particularité. Il y a de bonnes chances qu'ils soient là car les pokemons poisons sont naturellement faibles à leurs pouvoirs mentaux et qu'il agissent donc comme les prédateurs des marécages. La zone se décline sinon entre les mystherbes, les spectres dont je n'écrirais pas les noms, les nidorans (mâles et femelles), les smogo, les tas de boue que sont les tadmorv et les tentacool. Les ragots du coin sont très souvent centrés sur le fait que les pokemons vivant dans ces marais aiment jouer des tours aux visiteurs impromptus qu'ils peuvent croiser. Soyez donc prudents si vous vous y rendez !

Pour la petite histoire dont je vous parlais au début, voici ce qu'il s'est passé. Minami que vous devez tous connaitre désormais (sinon reportez vous au premier article, c'est ma collègue quo-propriétaire de l'île de Cristal !) m'avait invité à la rejoindre sur place. Elle savait que je cherchais un pokemon plante bien particulier puisque j'ai toujours adoré les mystherbes et tout particulièrement leur évolution nommée Joliflor. Ce que cette coquine s'était par contre particulièrement bien gardé de me dire : c'est que le marais est hanté par mes ennemis de phobie. Vous auriez vu la tenue qu'elle nous avait apporté ! Je n'ai jamais été aussi contente de porter un masque pour m'aider à respirer. Même avec son masque, et pourtant Minami est l'une des techniciennes les plus douées quand il s'agit de créer un outil efficace, l'odeur était désagréable putride. Je comprends aisément qu'il n'y ait presque que des pokemons poisons qui vivent sur place ! Enfin, nous avons commencé la recherche et à un moment, ne voilà pas que je vois justement un mystherbe courir vers nous ? Le pauvre était totalement horrifié et paniqué. C'est à peine s'il nous a capté quand j'y repense. Et le pauvre bout-de-chou : j'ai rapidement put le comprendre ! Il était poursuivi par un fantominus !!! J'ai fait comme lui et après quelques cris, mon inconscient avait guidé mon corps pour le rattrapper. Heureusement pour lui d'ailleurs ! Il avait chuté sur s'était écrasé sur une tourbière. Qui avait cédé et le voilà qu'il se retrouvait la tête dans la boue et l'eau avec ses petites pattes qui s'agitaient vers le ciel. Tyraël m'a aidé pour le déprendre de l'emprise de la boue, même s'il m'a fallu jouer des coudes dans l'eau et la pluie qui tombait en plus ce jour là et j'ai alors put le convaincre de devenir mon ami. Quand on a enfin osé retourner vers Minami, le spectre avait heureusement disparu. Nous avons dut arrêter notre exploration des marais puisque j'ai attrapé le pire rhume carabiné de toute ma vie. Au moins, Amidaru fait toujours partie de mon équipe actuelle même de nos jours.

Et vous, mes ami(e)s. avez-vous de telles rencontres à nous conter ?

Bonsoir de nouveau mes ami(e)s lecteurs et lectrices adoré(e)s !

Vous devez commencer à me connaitre désormais depuis les derniers mois que nous échangeons ensemble sur des sujets aussi divers et variés qu'il m'est possible de le faire. Et pourtant...pourtant je ne vous ai pas encore parlé de ma plus grande passion. Si vous entendez des cris d'hystérie ou de joie, des gloussements voir même une voix passionnée dans mon texte : rassurez-vous ! Ce ne sera que votre fidèle blogueuse qui aura assez laissé parler ses émotions pour que vous l'imaginiez !

Le type pokemon dragon est l'un des rares types de pokemon ne comprenant presque qu'exclusivement des pokemons aux dimensions allant de grandes à très grandes une fois qu'ils ont fini d'évoluer. Ils sont aussi très rarement monotype et se combinent très bien avec d'autres types. De nos jours, nous connaissons une espèce deux espèces se mêlant au sol, trois espèces se mêlant au vol, et une qui se marie au type eau. Nous reviendrons sur chacune d'entre elles sous peu, ne vous inquiétez pas ! Les dragons sont connus pour une particularité qui, si elle n'est pas obligatoire est tellement courante qu'on l'attribue en général à toute l'espèce : ils évoluent sur le tard. Donc attendez-vous à vous entrainez très longtemps avec le ou les premier(s) stade(s) d'évolution pendant longtemps si vous arrivez à convaincre l'une de ses petites merveilles de rejoindre votre équipe. Ce qui ne serait pas une mince affaire vu leur caractère excessivement bien trempé.

Commençons donc notre tour du monde des dragons par mon pays natal...J'ai nommé l'Asie ! Vous croyez peut-être qu'il n'y a qu'une seule espèce de dragon ici ? Détrompez-vous ! La deuxième est simplement excessivement rare à l'état sauvage si bien qu'elle ne se rencontrera presque que parmi les pokemons ayant un dresseur. Mais voyons d'abord la première, celle à laquelle tout le monde pense en général quand on leur parle de dragons...Je parle bien entendu de la lignée des minidraco, draco et dracolosse ! Si les deux premières formes sont exclusivement du type dragon, le dracolosse gagne le type vol en évoluant. Cette espèce vivant dans les zones les plus reculées et dangereuses de l'Asie, elle est assez rare à rencontrer et je vous avouerais qu'à mon plus grand malheur : je n'ai pas eut l'occasion d'en croiser encore. Dire que Minami en a capturé un pour un dresseur d'Amérique du nord et que je n'ai même pas eut la chance de voir de mes propres yeux cette beauté si imposante !

L'autre espèce est beaucoup plus discrète en terme de présence comme je vous le disais il y a quelques lignes. Quoi de plus normal quand on sait qu'il faut une pierre eau afin de pouvoir permettre à celle-ci de finir ses évolutions et donc de gagner son type draconique ? Je vous parle de la lignée des hypotrempe - hypocéan - hyporoi. Ces petits coquins se terrent dans les mers d'Asie et il est assez difficile de les rencontrer à l'état sauvage. Mon hypocéan s'appelle Auriel et contrairement à la majorité de son espèce : je l'ai trouvé dans les galeries sous Luan-zhen. Un dresseur avait eut la méchanceté de le laisser sur place après avoir brisé sa pokéball. Le pauvre bout-chou loyal l'a tellement attendu qu'il faisait pitié à voir quand je l'ai capturé pour le soigner. Désormais, c'est un hypocéan plein de vie et j'ai terriblement hâte qu'il soit prêt à évoluer pour devenir le premier dragon de mon équipe !

Visitons ensuite une autre terre qui dispose de pas mois de trois espèces de dragon...L’Amérique du nord ! Le premier est l'un des dragons les plus délicats qui soit. Contrairement à ses collègues qui ont en général de gros muscles, la lignée des Tylton - Altaria est toute en douceur et finesse. Le premier stade est de type normal et vol et le pokemon perd son type normal pour gagner celui draconique en évoluant. Kapua me semble bien douce pour mener assez de combat afin d'engranger assez d'expérience de vie pour évoluer mais j'espère bien qu'un jour elle choisira de devenir une magnifique altaria pleine de grâce !

Une autre des espèces de dragon présente en Amérique du nord est la lignée des Kraknoix - Vibraninf - Libégon. C'est justement lui que je pars chasser dans la journée demain avec un guide pour m'aider à les trouver. J'espère vraiment être capable de convaincre l'un d'entre eux de devenir mon ami !!!! Le kraknoix débute sa vie en étant simplement de type sol et dès qu'il évolue une première fois, il gagne son côté dragon. À ce qu'il parait, pour la petite anecdote : les kraknoix sont des pokemons qui aiment piéger les gens. J,ai bien hâte de découvrir pourquoi...

La dernière espèce qui est officiellement reconnue et localisable en Amérique du nord serait la lignée des Draby - Drackhaus - Drattak. Ses pokemons vivraient dans le nord de l'Amérique, dans une zone toute particulièrement dangereuse et sauvage. Un jour peut-être pourrais-je m'y aventurer, qui sait ? Si le draby et le drakhaus sont de type purement draconique, leur espèce gagne le type vol en devenant des drattak. À ce qu'il parait, ce pokemon est immense et on pourrait voler sur son dos. Un voyage à dos de dragon, n'y a-t-il pas de quoi rêver mes ami(e)s ?????

La dernière espèce officiellement reconnue mais pas la moindre est celle vivant en Amérique du sud. Je vous parle bien évidement de la lignée des Griknot - Carmache - Carchacrok. Saviez-vous que cette espèce est désignée comme étant le requin des sables ? Ils disposent dès leur premier stade du double type sol et dragon. Un ami scientifique le cherche justement et je croise les doigts pour qu'il puisse s'entendre avec l'un d'entre eux afin de pouvoir rencontrer l'espèce ! Avant de pouvoir moi aussi devenir amie avec l'un d'entre eux bien sûr !!!

Il existe d'autres types de dragon mais ses espèces sont les seules à être officiellement reconnues par le pokedex sunrise actuellement, J'espère sincèrement que les dragons ne nous ont pas encore montré toutes les espèces qui les caractérisent. Ce serait vraiment trop beau de pouvoir découvrir une espèce inconnue !!!! Et vous, mes chers lecteurs et lectrices : quel est votre type de pokemon préféré ?