Recherche en pleine mer

Attablé devant mon établis, je me concentre sur l'objet spécifique qui siège devant moi,ce fut un grand accident qui ma mené sur la piste de mon sujet de rechercher actuelle. Enfin, grand... Tout est une question de point de vue. Lorsque je suis rentré dans mon vaisseau marin, mon premier but était comme toujours l'atelier. Ce dernier, taillé sur mesure pour mes besoins est mon petit recoin de paradis sur terre. Enfin, plutôt sur l'amer , même si ce détail parfois me chicote. Mon atelier donc, avec son établis, sa table, ses outils, ses câbles coulés dans l'or massif pour permettre la meilleure des conductivité. Mon petit paradis à moi. C'est en ouvrant un placard que l'accident c'est produit, tout mes tombés dessus. Babioles diverses, pièces de rechanges, ancien projet de recherche et sur le coup, j'ai cru me noyer sous la masse, allant jusqu'à hurler un ''eaux secours!. Pauvre Manfred... Mon vieil ami à bien cru que j'étais tombé à la flotte! Je le comprends, normalement je hurle ainsi que dans ce type de situation justement. Il faut croire que sur le bateau, il m'est impossible de demander de l'aide autrement.

Après l'accident, je m'étais reposé un peu sur le pont. J'avais passé un moment à simplement me reposer, regarder les choses dérivés. Et mon cher BluePearl, ses mâts touchaient l'azur, projetaient leur ombre grandiloquente sur ma frêle personne. Nous nous engagions sur des mers inconnues. Animé de curiosité, je m'étais appuyé contre la balustrade, observant ce que les marins appelaient la cyprine d'amour frapper la coque du navire encore et toujours sous les mouvements incessant de la mer. Cheveux épars sous la force du vent, chairs nues doré par le soleil j'avais poursuivit ma ronde. Manfred s'étalait à satâche et moi je rejoignis la proue, au soleil excessif je souriais de nouveau.

J'aurais put rester là encore longtemps,   mais il vint une idée. De tous le fouillis désormais étalé sur le plancher de mon atelier, sans aucun doute possible je pouvais y trouver un nouveau sujet d'étude avant que lanuit ne vienne frapper le grand écueil vide de mes pensées. Je quitta donc la proue, laissant mes idées libres s'envoler dans l'océan trompeur qui de part sa simple présence, m'empêchait de me me concentrer. Quittant la cabine, je rejoins le pont pour emprunter la petite porte qui mène en dessous. Je laisse dans mon sillage Manfred qui tombe par défaut capitaine, ''oh Leveinard!'' Dans le couloir séparant l'entrée de mon atelier, je passe devant le tableau où chantait la Sirène d'une partet le naufrage horrible de l'autre. Une scène d'un compte ancien d'on les détails de l'histoire m'échappe.

Ignorant le remous des vagues qui inclina sa carène de mon magnifique BluePearl, persuadé que nous ne finirons pas aux profondeurs du Gouffre, immuable cercueil aquatique qu'est la mer. Ce fut la révélation lorsque mon regard suivit un vaisseau d'or, dont les flancs diaphanes peinait à percer la noirceur des sombres recoins de la pièce. Le rayon de lumière provenait du hublot de la pièce et révélaient des trésors digne de ce que les marins profanes passaient leur vie à chercher en mer. Deux sections d'un objet sphérique brisé. Une pokéball désuète que Dhyana m'avait offerte, connaissant mon penchant pour décortiquer tout objet du quotidien.

C'est pourquoi, je m'étais décidé à ranger mon atelier. Big Ben, qui pour une fois dormait paisiblement dans sa propre maison mobile fut appeler en renfort. Le Tic ne m'en voulu pas et était plutôt heureux que je lui demande de l'aide. Les objets brisés dans une boite, les outils retrouvèrent leurs emplacement sur l'établis, les reliques de recherches abandonnés dans un recoin, les plans d'une multitudes d'autres objectifs dans un autre.

-Et l'Élekable ils sont où?

La question fut répondus par une série d'étincelle flamboyante et Big Ben m'apporta les câbles demandé. Parfait, j'étais prête pour mener à bien cette nouvelle étude!

Le sujet menait à controverse d'ailleurs, car le fonctionnement des pokéballs, méconnus, forçaient deux écoles de pensé à s'affronter. Dégoût, haine et névrose, entre eux ont disputés. Je ne parviens pas à comprendre un tel comportement. Chaque scientifiques pense d'une façon, chacun marque des points différemment. Chaque idée à sa propre valeur. Et à celui qui s'acharne contre l'autre, celui qui jamais accepte d'écouter les points énoncés, que reste-t-il de lui dans la tempête brève?Car ces disputes entre école de pensée prenne pour moi cette forme, celle d'un orage imprévisible et violent qui laisse les deux partit éparse et effrayé. Qu'est devenu mon cœur, oh science si précieuse. Pourquoi les salles de congrès prennent la forme d'un navire déserté? Hélas! la science n'est pas doté de parole, elle ne peu nous expliquer pourquoi il a sombré dans l'abîme du Rêve celui qui s’acharne sur son collègue.

Quand est-il donc de ces deux théories? D'abord la première hypothèse émit est celle de la ''Contraction''. Les sphères de captures rétrécissent les pokémons jusqu'à ce qu'il puisse rentrer à l'intérieur d'une balle pas plus grosse que notre main. Comment cela est-il possible? La clef de cette théorie repose sur la technologie nommé contraction. Afin de pouvoir réduire des pokémons aussi imposant qu'un Snorlax à une taille portative, la contraction agit au niveau cellulaire.

Il peut vous sembler que la matière est solide. mais la plupart de ce qui vous compose, moi et le reste du monde tangible est un espace vide. Si vous pouviez faire exploser un atome à la taille d'Ykito, le noyau ne serait pas plus gros qu'une pomme. Le reste de la ville est occupé par des orbites d'électrons. Cela implique une grande majorité d'espace vide. C'est ce même principe qui s'applique lors de la contraction. Tous ces espaces vide entre les électrons qui compose les pokémons. Cette théorie ce tiens donc, non? Nanméouie.

Le problème est que lorsque vous réduisez la taille, vous ne réduisez pas réellement la masse. Tout ce qui compose un Snorlax est toujours présent, mais minimisé. Cela signifie que toutes les informations ont été condensées et que la densité a augmenté.Vous courez le risque, dans ce scénario, de créer une collection incroyablement dense de matière. Même sans tenir compte de tous les problèmes biologiques néfastes qui accompagneraient le rétrécissement d'une entité vivante (diminution de la fonction organique et incapacité à communiquer), vous devez toujours considérer la capacité des pokéballs à transporter toute la masse d'un pokémon, masse qui n'est pas réduite du tout en rétrécissant. C'est pourquoi je réfute cette hypothèse et me tourne vers la suivante. Si si, Tutafeh!

La conversation de la matière en énergie. Cette explication est celle qui me semble la plus sensé. Elle implique de transformer les pokémons, composé de matière tangible en énergie intangible.Lorsqu'une pokéball est lancée pour tenter une capture, un faisceau d'énergie se présente et enveloppe la créature visé. À ce point, il transforme la cible en énergie et cherche à la transporter vers l'intérieur de la sphère. Le pokémon ciblé a alors la possibilité de résister et de s'échapper, ou d'être capturé. De toutes les théories sur la technologie de capture de pokémon, c'est selon moi la plus probable. Compte tenu de ce que nous savons de la relation entre l'énergie et la matière via les documents retrouvés de l'ancien monde, il est tout à fait possible de convertir l'énergie en matière et vice versa.

À ce stade donc, les pokémons ne sont que de l'énergie pure, enfermé dans une sphère. Cette énergie, que nos appareils perçoivent sous forme de donné peu alors être transféré par des machines, d'une bout à l'autre du monde en quelques secondes. Pensez aux échanges pokémons. Il suffit de placer la sphère quelques instants dans la machine et ''pouf'', la créature est transféré à un autre dresseur dans un autre pays.

Mon tournevis tourne une fois, deux fois, trois fois. La vis tombe sur mon établis et je dépose l’outil, retire la petite plaque de métal à l'intérieur de la sphère. De très petits câbles sont visibles, au travers des cartes électronique et d'autres composantes qui forme la couche interne de la pokéball. Je parviens à trouver ce que je cherche. Je connecte donc la sphère inutilisable à mon SIS, lance l'analyse du programme. Toutes ces théories qui me passe en tête, je les dois à des les lectures faites sur le sujet. Je dois donc pousser un peu plus loin, analyser les donnés, comparer les faits. Qui sait, ma théorie préféré est peut-être erroné? N'ayant pas grand chose à faire durant la recherche, j'ouvre la petite télévision au-dessus de mon établis. L'analyse en a pour prêt d'une heure, alors j'ai le temps de m'occuper.

Je tombe sur la diffusion d'un match d'arène. Khiem affronte un jeune dresseur et aussitôt je me retrouve sur le bout de ma chaise. Oh! J'ai gagné récemment contre lui et le combat as tellement été rapide, aucune chance de voir l'attaque Onde de choc à l’œuvre. Peut-être que?

L'Élektek du champion fait face à un Pikachu. Électricité contre électricité. Un combat au coude à coude s'engage. La souris électrique commence à courir en direction de son adversaire. Ses petites pattes s'agrippe au sol de l'arène grâce à ses griffes. Chacune de ses foulée soulève un fin nuage de sable. L'impact s'annonce impressionnant et malgré tout, le rongeur ne perds pas en vitesse, fonçant sans la moindre hésitation contre son adversaire, la détermination plus que lisible dans ses petits yeux noirs. L'Élektek voit venir l'attaque de l'autre côté du terrain et ce place en position, décidé tout autant que le Pikachu à emporter la manche. Il campe ses pieds au sol et place ses bras sur le devant de sa personne, prêt à intercepter l'assaut. Il prend une grande inspiration.

L'Élektek songe. Il songe à tous ces combats gagné auprès de son maître, il songe à tous ces dresseurs qui sont parvenus à passer le cap. Il songe aux heures d’entraînements enchaîner sans interruption, ils sont aux litres de sueurs offert en offrande au sol de l'arène. Il songe à la promesse partagé avec son dresseur, celle de ne laisser passer que les dresseurs qui sont prêt. Perdre est impensable, ce gamin risquerait sa peau dans des territoires trop dangereux. Il doit gagné! Il faut qu'il l'emporte! Perdre n'est pas une option! Et ce Pikachu qui fonce vers lui à une vitesse supersonique n'y pourras rien, il ne pourras pas le faire reculer, le faire hésiter. La victoire l'attends au bout du chemin, il en est persuadé!

L'impact est impressionnant. L'onde de choc balais de la poussière dans les sens et la caméra ce voile un instant. La poussière retombe, dévoilant les combattants. Les griffes de l'Élektek ont laissé un sillon sur le sol, la Pikachu la fait reculé de quelques centimètres, sans plus. La souris repose désormais avant les mains du pokémon du champion qui est parvenu à contenir l'impact. Tout sourire, le monstre électrique recouvre sa courte fourrure bicolore d'étincelle. Le rongeur comprends son erreur, il commence à se débattre, cherche à fuir.

Pikachu panique. Il ne peut pas perdre! Son jeune dresseur compte sur lui! Il doit gagner, rendre son maître, Jean Bonneau fier de lui! Il ne veut pas perdre, il ne veut pas perdre! Toutes ces semaines passés dans la nature, tous ces combats contre les pokémons sauvages, tous ces événements ne sont pas arrivé pour rien! Il doit s'enfuir! Ses crocs se referme sur le bras de son adversaire, guidé par le désespoir, mais il est trop tard.

La foudre tombe.

Le silence s'installe dans les gradins et je prends conscience que devant mon petit écran de télévision, je me suis redressé d'un bon. Poings serrés, j'attends que l'image revienne. Une fois de plus, la poussière retombe. Le pikachu est au sol, vaincus.

-OUAIIIS! Bravo Khiem, brabo Élektak! Vous êtes les pros du combat électrique! WOW! T'a vue cette onde de choc Big Ben? Il était là, et il se débattait à fond, mais non! BAM! Complètement zappé! Et dire que ces pokémons étaient du même type, tu image la puissance de l'attaque pour arriver à ce résultat? WOW!

Tout à ma petite danse de joie, cela me prends un moment afin de saisir le son que j'entends en arrière plan. Cela ne vient pas de la télévision, ni de mon SIS qui est toujours en pleine analyse. Une corne de brume? Nous devons croiser un autre navire tiens...

Sortons la mer est belle:

Je tangue de gauche puis de droite. Ma peau cuirassé reflète la lumière du soleil et le vent chante entre mon mât et ma cheminée. La mer est belle, la mer est gracieuse, je l'aime. Lorsque je me souviens des sombres jours, de ses humains qui m'avaient sortit des eaux, hissé sur la barge, jugé désuets. Lorsque je me rappelle des jours sombres ou je regrattais de pas pas avoir coulé dans la tempête, entraînant mon capitaine dans mon sillage. Heureusement, ces jours ne sont plus. Ma voile embrasse à nouveau le courant d'Est, ma coque danse avec les vaguelettes, mon pont brille au soleil tendit que la chaudière relâche un nuage noir en direction du ciel.

Ah! Sortons mes amis, la mer est belle! Que cette journée soit l'une de découverte, explorons de nouveau horizon! BluePearl est mon nom, la nouvelle Capitaine ma nommé ainsi. Et je l'aime! C'est elle qui ma sortit de ce hangar, c'est elle qui as pensé mes plaies, réparé mon hélice, refermé ma coque. Elle a fait luire le pont, vernis la balustrade, nettoyer les écoutilles. C'est le Capitaine de mon cœur, mon âme sœur.

Lorsque la corne de brume se fait entendre, je porte une attention particulière au cousin qui s'approche. Un vieux gaillards mal entretenu, poussé par le vent et diriger par une troupe de malotrus. Des pirates! Les voilà qui cherche à monter à bord! Oh non, hors de question! Pas sous ma guidance! Je sombrerais au fond des flots avant de vous laissez grimper à bord! Je laisse glisser la corde dans ma poulie, fait ouvrir la grande voile. J'active la cloche, signalant à Chaudière de faire plus de feu. Il faut allez vite. Vite!

On nous attaque... Jamais je n'aurais cru cela possible, mais pourtant je ne peux nier la scène qui se déroule sous mes yeux. Je ne faisais de mal à personne moi! Laissez-moi analyser mes pokéballs en paix! Le volume de la télévision était trop fort peut-être? Je peux le diminuer! Le son de la corne de brume m'a attiré hors de mon atelier. J'ai laissé mon SIS en bas, branché à la pokéball en cour d'analyse. Je ne m'attendais pas à découvrir un petit deux mâts inconnu qui cherche à nous aborder!

Zazu, mon fidèle compagnon monte la garde, arrache tout cordage qui tente de prendre prise sur notre balustrade. Manfred augmente le niveau de la chaudière. Notre vitesse va augmenter, mais pas assez rapidement pour les fuir immédiatement! Des Krabby sont lancé sur notre pont afin de nous attaquer et je fais appel à Big Ben et Storm pour les contré. Yeux rivés sur le combat, c'est un cri de détresse qui détourne mon attention.

-ZAZU!

Mon cher Roucoups est pris dans un filet. Il se débat comme il le peut, mais les pirates s'en moque. Voilà qu'ils tirent sur les cordes, font tomber mon ami dans la mer. L'oiseau flotte de peine et de misère à la surface et bien qu'ils soient littéralement en train de me voler un pokémon, je me sens rassurer lorsque les pirates monte l'oiseau sur leur pont. Zazu ne finira pas noyé! Quand à ces vauriens... Ils ne savent pas ce qui les attendent!

Les pirates commencent à plier bagage. Oh mais non! Ces brigands d'eau douce ne s’enfuiront pas ainsi! Mon pauvre Zazu est toujours sur leur pont, prisonnier d'un filet. Je dois l'en sortir avant que ces saligauds ne s'enfuient au loin! Je fais appel à Poucette, ma douce insecte. Le sauvage est une oun autre Krabby au combat pour couvrir leur fuite et ma Papilusion parvient à atteindre le filet de l'une de ses sécrétion. La voilà qui tire et tire, ''plouf'' à l'eau le Zazu!

Storm et Big Ben maintiennent l'ennemi à distance, mais le combat et l'oiseau à la mer attire l'attention. Des tréfonds, un Tentacool fait son apparition! Zut, zut et rezut! Ce n'est pas le moment! Je n'es pas la tête à capturer, mais bien à récupérer. Poucette arrive à mon niveau et je l'aide à tirer le plus vite et fort possible. Nous parvenons, lentement, à ramener mon brave Roucoups sur le pont. J’attrape mon couteau multi usage, m'acharne sur les cordes solides. Je parviens à les couper après un moment. Mais mon ami est dans un sale état.

Couché sur le pont, le corps tremblotant de part en part, l'oiseau est frigorifié. L'eau à percé toutes les couches de sont plumages et ses paupières peinent à rester ouverte. Ni une ni deux, je retire ma veste, cherche à le recouvrir sans grand succès. Une quinte d’éternuement s'échappe de son bec, secoue violemment son corps. Je saisis une nouvelle pokéball, fait appel à un autre compagnon. La tête de mon Roucoups repose sur mes jambes et Poucette s'appuie contre son dos, le recouvre de ses ailes légère, cherche à le réchauffer. C'est Ganon qui apparaît dans toute sa gloire grognonne.

-Ganon, il faut réchauffer Zazu! Il est frigorifié et je crois qu'il a attrapé froid...

Le cochon détourne la tête, pas du tout animé à l'idée d'aider l'un des nôtres. C'est plutôt se joindre au combat qui l'intéresse. Il racle le pont du navire de ses sabots arrières, sourire en coin. Je fronce les sourcils, furieuse.

-NON! Si tu ne peux même pas aider l'un des nôtres qui est malade, tu crois que je vais t'envoyer participer à un combat? Il faut savoir travailler en équipe pour cela et ce concept n'est décidément pas ton forté!

Mon éclat de colère surprends le Grotichon. À ce stade, je l'ignore. J'encercle la tête de mon pauvre Zazu, le supporte comme possible, lui offre de ma chaleur et Poucette en fait autant. Elle qui supporte mal l'eau sur ses ailes n'hésite pourtant pas à aider son ami. Pourquoi Ganon ne peut-il pas en faire autant? Big Ben laisse éclater de furieuse étincelle en direction du porc, vibrant de colère. Le Roucoups est complètement gelé et il est un pokémon feu. Pourquoi aider est-il su compliqué? Bougon, le Grotichon s'approche. Il s’assoit de dos et augmente la chaleur de son corps, aidant à réchauffer mon fidèle Zazu qui enfin, grelote un peu moins. Il tousse encore et certainement, il ne seras pas en pleine forme pour encore un jour ou deux. Mais cela viendra, nous prenons soin de lui.

Vaillant Zazu, oh toi qui as un air au standard imposant. Zazu l'actif, oh toi qui toujours part au combat. Oh parfait Zazu qui pour l'amour as l'ambition, un soupçon parmi tant. Plumaison il n'y aura point, alors ta raison tu dois garantir. Aucun flot n'aura sur toi ton motif, alors assainit ta vision. Miroir irisant, flanc vibrant d'air, front saillant, dos abrupt. Tout à toi, ta distinction, ton ovation, oh franc soldat, bon briscard qui toujours accourt.

Compagnon, ami, copain sont autant nom, autant apposition. Pour attribut tu as l'aplomb, l'ambition, du culot l'opinion. Alors sort, sort plus haut, toujours plus haut. Tu parcours l'air aux flots accablants, monts colossaux, marais puants. Jamais, jamais ton train tu dois abâtardir. Alors vas, toujours plus haut. Oh vaillant Zazu, bon soldat vif sur l'air. Du champ aux flots poursuivit soit l'ouragan. Aboutit là où la nuit naît, bifurcation parmi mort ou vivant. Là accomplit ton choix, agit ou abolit. Souffrir ou mourir. Nous n'avons pas un an, choisit!

Oh Zazu, grand champion à l'amour fort convaincant. Ainsi ton choix tu as accomplit, qu'il soit donc ainsi. Suit l'ouragan, soit uni à l’air. À ta maison tu iras, ta camarilla à l'affût y croit. Oh, vaillant busard, hardi soldat, accourt au combat. Fuis, loin, loin la mort, bondit dans l'action. Saisit ton nom, fond sur ton gain. Soi toi, oh Zazu.

Enfin! Zazu rouvre ses yeux, me regarde, perdu. Nous somme de retour dans ma cabine. Après la fuite des pirates, mes compagnons sont parvenus à repousser l'assaut, mais mon brave Roucoups à perdu conscience. Nous l'avons donc apporté dans ma chambre et je lui es arrangé un petit coin douillet, bien au chaud. J'ai pris le temps aussi de remercier Ganon, ce gros balourd individualiste c'est, pour une fois, bien comporter. Alors il mérite bien quelques remarques agréables. Lui et Poucette sont retourné dans leurs sphères de transport, histoire de se reposer. Big ben est avec moi dans la cabine, et même si mon esprit n'y es plus, je travaille à nouveau sur mes recherches.

Comment fonctionne les pokéballs. Mon analyse de programme à eu au moins le temps de se compléter pendant ce fiasco. Je m'y plonge donc quelques heures, refusant le sommeil et gardant un œil sur l'état de Zazu. C'est pourquoi je suis autant heureuse lorsqu'il se réveille enfin. Je délaisse mes recherches et lui offre le plus gros câlin du monde. Après, nous sommes prêt pour une bonne nuit de sommeil.

Je me réveille quelques heures plus tard. Zazu est toujours à côté de moi dans le lit, il respire, tout va bien. C'est Big Ben qui cherche mon attention. Quelque chose cloche encore sur le pont ont dirait. Je monde donc, curieuse. Nous sommes proche de la côte, notre destination ne dois plus être qu'à quelque lieux. Et pourtant nous sommes à l'arrêt. Entre les récifs qui parsèment le dessus de l'eau, une épave fraîche d'un bateau de pêcheur. C'est triste à voir. Surtout que ces idiots ont laissés leur filet à l'eau! C'est pourquoi Manfred à arrêter notre progression, il y a quelques créatures de coincé dans le filet!

Bon. Zut. Il vas falloir que je me mouille. J'aspire un grand coup et je me prépare. Habillé comme il ce doit, rattacher au Bluepearl par une corde, je me laisse descendre dans l'eau. Manfred voulait y aller mais... Il se fait vieux, je ne veux pas qu'il prenne ce risque. Et c'est ma chance de faire face à ma peur! Après quelques brassent, j'atteins enfin le filet problématique. Ce n'est pas un petit modèle, qu'importe. J'ai avec moi une bonne lame et je m'approche en douce du premier pokémon captif.

Il s'agit d'un Magicarpe. Sa couleur jaune et rouge ne mente pas. Je lui chuchote des mots doux tout en tentant de rester la tête à la surface de l'eau. Cela prend un moment pour qu'il ce calme, accepte que je suis là pour aider. Le discours de Big Ben au-dessus de mon épaule à probablement aidé. Ainsi, j'agrippe le filet d'une main, cherche à le couper de l'autre.

-Allez, voilà, comme ça ici. Je vais m'approcher un peuu, pardon si sa tire. Voilà, comme ça mon beau, ne bouge pas c'est parfait. Et de deux! Encore quelques mailles et ce filet ne seras plus mon cher!

Mes mots tarissent tout comme la fatigue et le froid s'emparent mes membres. La nage, ce n'est pas mon forté. Mais voyez comment je me débrouille bien sans pokémon pour me tirer! Et hop, une corde de plus! Maintenant, la moitié de la tête du Magicarpe pourrait passer! Je lui offre un sourire malgré ma fatigue et c'est mon Tic qui reprends les encouragements. À ce stade, le poisson est sous mes doigts, je sent ses écailles froides contre ma peau. J'aspire une grande bouffée d'air, cherche à rester calme. Allez, encore un peu et il sera libre! Et moi, je pourrais repartir. Encore une maille et hop! Bingo! Je range mon couteau, tient le trou créé en grand pour laisser filer le poisson qui s'extase devant la liberté qui lui tends les bras.

Et je crois qu'il me prend pour dame liberté en personne puisqu'il saute par le trou du filet, me fonce dessus à grande vitesse. Voilà qu'il m’entraîne sous l'eau. J'ai le réflexe de l'attraper pour me retenir et il me ramène à la surface. Mais je panique, ma respiration s'affole. Non, je non!! Pas ça! Je ne suis pas capable! Je cri, hurle de panique et le Magicarpe, qui voulait me remercier, panique à son tour. Voilà qu'il lance une magnifique trempette, alors que je me tiens toujours à lui. Tête sous l'eau, en dehors de l'eau, encore et toujours. J'en perds le souffle, je m'étouffe. Finalement, un bon coup de queue et je le relâche, complètement sonné.

Un gémissement m'échappe et je relève la tête pour cracher une gerbe d'eau salé. Beurk! J'appuie mes mains contre le sable de la berge, parvient à me relever. Une série de cliquetis métallique accompagné d'un vrombissement électrique attire mon attention. Big Ben vole au-dessus de ma tête, attire mon attention, le bout d'une corde brisé coincé entre ces écrous. Oh. Je me suis retrouvé sur la plage, complètement paumé.

Je parviens à me relever, regarde autour de moi. Une Minami à la mer, yayyy... Arf. Mon corps est douloureux de partout et des muscles d'on j’ignorais l’existence hurle d'inconfort. Finalement debout, je regarde à l'horizon, cherche à repérer le BluePearl. Non, pas là. Zut.

-Semblerait qu'il faille trouver un moyen de se repérer Bb... Ça où, un moyen d’envoyer un signal à l'aide...

Mes pas m'éloignent de la berge, je parviens à grimper la petite falaise qui sépare la zone innommable où j'ai échoué et le plateau plus élevé couvert de végétation luxuriante. La jungle? Génial, ne manquait plus que sa... Mes pieds nus me font grimacer et pourtant j'avance, guidé par mon cher Tic qui à la capacité de ressentir les champs électrique. Nos recherches nous guides devant ce qui devait être un ancien phare.

Une partit du toit s'est effondré, ne laissant qu'un demi cercle de vitre en verre. La structure, autrefois blanche n'a plus qu'une peinture fortement écaillé qui ne recouvre que de petite section. Quelques fenêtres rondes sont visibles à différents niveaux de la tour qui penche légèrement sur le côté. Certaines sont cassés et diverses plantes grimpantes assaillent le phare, grimpe à sa surface de part et d'autres.

Big Ben produit des étincelles, attire mon attention sur ce qui devait être la porte principale. Elle est désormais sous un couvert de plante et je frisonne. Heureusement, plusieurs de mes compagnon sont avec moi, bien à l'abri dans leur pokéball. Je fais sortir Xena et lui demande un coup de patte. Elle s’exécute, tranche les planches avec ses anneaux de combats, libère la vieille porte en bois moisi. Quelques coups l'ouvre de force et je découvre le rez de chaussée. C'est vieux, très peu meublé et poussiéreux. Champignons et moisissure ont trouvé leur chemin à l'intérieur.

Une petite porte mène à une ancienne cuisine qui n'existe plus, le mur n'étant plus de se côté. Tombé en bas de la falaise il est. Il ne reste qu'une base de cheminé à moitié effondré. Une autre porte, au centre des escaliers qui monte renferme ce qui devait être les vivres, les outils, un bon gros placard. Presque vide. Je monte, atteint le premier étage. Une porte, recelant une ancienne chambre. Il y a encore un lit et il m'appelle. Je résiste. D'abord monté, atteindre le sommet, voir si je peux produire un signal.

J'y arrive enfin et la constatation n'est pas longue. La section effondré du toit à abîmé la lumière géante. Zut, zut, zut! Il faut que je trouve une solution!

Une femme à la mer!:

Bon, tout le monde redescend! Il n'y avait presque plus rien dans le placard principale alors je m'arrête à l'étage de la chambre, repose mes jambes en m'assoyant sur le vieux lit. Un nuage de poussière s'en déloge et il grince tellement que je crains un instant qu'il ne s'effondre sous mon poids. Heureusement, la charpente en bois résiste et je soupire. Le lit n'a plus aucun draps, jute un matelas moisi. Mon regard inspecte les meubles de la pièce et je trouve la force de me relever pour les fouiller. Dans l'armoire, de vieux vêtements abîmés par le temps, mais toujours en état. L'armoire les as protégé et surtout miracle! Une paire de soulier! Bon, il son trop grand, mais si je remplis la différence avec des chiffons, sa vas le faire.

Après, table de chevet. Quelques bricoles d'on une vieille radio. Je la saisis, pleine d'espoir pour me rendre compte qu'elle est morte depuis longtemps. Bon.... Faisons un inventaire! Big Ben toujours à mes côtés, je place ce que j'ai sous la main sur le lit pour mieux observer. J'ai avec moi, tous mes copains pokémons, ceux que j'attache à ma ceinture. Donc, mon équipe principale sans plus. J'ai les quelques outils qui toujours, traînent dans les poches. Bon, j'ai retiré ma veste avant de sauter à l'eau, il me reste tout de même un tournevis et quelques boulons. Ensuite, la vieille radio cassé trouvé ici même, des vêtements et... Et bien c'est ça. C'est tout ce que j'ai sous la main.... Ah! Il me reste ce bout de corde toujours enroulé autour de mon bassin, sa compte non?

Une vague de fatigue déferle sur ma personne. J'aspire un grand coup, retient mes larme. Non! Pas question de désespérer! Je suis encore en vie, j'ai plusieurs de mes compagnons avec moi. Alors TOUT vas bien aller. Il me suffit de trouver un moyen de... D'appeler à l'aide? Oui voilà. Et en attendant, un peu de sommeil ferait le plus grand bien. Je farfouille l'armoire, trouve des vêtements potables. Ils sont trop grand, étant fait pour un homme. Qu'importe. J’enfile se qui devait être un pyjamas, place mes vêtements à séché sur le garde dans l'escalier. Je n'es pas l'énergie pour chercher un meilleur endroit. Je range mes possessions en sécurité puis, avec tout ce qui reste de vêtements, je me fabrique une sorte de nid douillet sur le vieux matelas pourris.

Satisfaite, je m'installe. Cette fois, la base du lit cède et je me retrouve penché sur le côté. Big Ben flotte devant moi, il semble inquiet. Je force au sourire. À ce stade, dormir sur une base pas tout à faire horizontale est loin d'être mon pire problème. Épuisé, je m'endors dans ce recoin perdu de la jungle. Mon compagnon de toujours veilles sur mon sommeil, mais rien ne semble avoir remarqué notre présence. Du moins, pour l'instant. Tant mieux, il faudra être en forme pour affronter les épreuves à venir.