Au pied des marches du monde

J'ouvre la porte de droite et voilà que je me retrouve à marcher au plafond. C'est étrange de se déplacer la tête vers le bas. D'un autre côté, je crois que plus rien ne m'étonnerais venant de cet étrange labyrinthe. La salle que nous découvrons ressemble à un jardin intérieur. Des plantes qui poussent à l'intérieur? Ah non, suis-je bête, il y a vue sur le soleil là en bas, un ciel d'un bleu limpide s'étend à l'infini, fusionne à l'horizon là au loin. Aucun nuage, mais un vent frais qui ballait l'herbe haute, en courbe les brins en direction et bien, du plafond. Je sais que je ne suis pas dans le bon sens car même si mes pieds collent parfaitement à la surface, mes cheveux flottent vers le bas, donc mon haut et que Big Ben a encore eux besoin d'ajuster son vol.

Chaque changement de direction me donne une nausée légère sans plus et j'en es tellement subit depuis que nous apportons les ''couloirs'' de se labyrinthe, que je ne les ressent plus, mon malaise étant constant. J'aspire une grande bouffée d'air frais, ravis de pouvoir profiter un peu du vent frais. C'est drôle, j'ai faim. Ça ne fait pas très longtemps que nous avons manger pourtant, je serais plus que partante pour une pause, voir une sieste. Cela ne serait pas sage du tout, mais d'un autre côté, je suis claqué...

Un miaulement résonne et j'ouvre les yeux, prenant conscience que je les avaient fermé. Un Persian s'approche de nous et je remarque pour la première fois le gros papillon installé sur une branche d'arbre. Bon... Ici aussi nous ne serons pas tranquille semble-t-il!

J’attrape rapidement des pokéballs à ma ceinture. Artax est mon premier choix. La Galopa est assez rapide et elle pourra griller ce papillon! Enfin, je crois? Elle pourra toujours essayer en tout cas. Quand au gros chat, arf… Mes pokémons de types combats sont hors d’état alors… Peut-être plus un touche à tout? Mmm. Oui, Vivi pourrait être une bonne idée! Elle n’a pas encore combattu alors elle devrait pouvoir soutenir la jument. Mes compagnons apparaissent rapidement sur le champ de bataille qui prend des allures de jardin pittoresque.

-Allez les filles, on commence par le papillon! Artax, Roue de feu! Vivi, Rayon Gemme!

Bon, rien ne se déroule comme prévu… Le gros matou utilise une technique bluffante qui prend le mouton par surprise. Vivi, tétaniser par la peur en perds même son chapeau la pauvre! Il lui arrive malheur chaque fois que je l’appelle au combat, c’est pas faute d’essayer, je sais bien qu’elle cherche à aider, mais bon… Avec son niveau de chance, elle ne parvient juste pas à rattraper les autres malgré ces gros efforts. De son côté, Artax parvient a blesser le papillon qui entreprend une danse animé. Ouhla, vas falloir lui régler son compte et vite à celui-là! Je me mords les lèvres. Peut-être que fuir serait une meilleure idée? En même temps, si je repars, je pourrais rater la sortie que je cherche tant si jamais elle est caché dans ce jardin!

Bluff, bluff et re-bluff...:

Bon allez, c'est décidé je reste! Le jardin est très grand et il y a tout plein de recoin que je dois visiter pour être certaine de ne pas rater une sortie potentielle. Le seul hic, c'est bien le gros matou et le papillon qui refuse de me laisser visiter sans m'attaquer. Je regarde l'état de mes compagnons avant de leur indiquer la suite du plan tout sauf prévus que j'improvise au fur et à mesure.

-Artax, continue comme ça mais change de cible, Vivi, tente d'achever le papillon s'il-te-plait ma belle!

L'Aéromite danse toujours et ce, de plus en plus vite. Il faut lui couper l'herbe sous le pied avant qu'il ne choisisse de mettre fin à sa chorégraphie et qu'il en termine avec mes compagnons. Pour le gros Persian, pas question de suivre la musique inexistante. Il gronde, fourrure gonflé et fonce tel un fauve contre Artax. Les deux se croise à mi-chemin l'un de l'autre et les griffes tranchantes du félin découpe la chair au niveau de l'épaule de la jument, libérant un flot de sang qui me fait mal pour elle. Artax réplique avec sa charge enflammé, mais c'est loin de suffire pour calmer la bête. De son côté, Vivia fait de son mieux contre l'insecte, sans pour autant parvenir à le mettre au sol. Bon, sa s'annonce pas très bien du tout cette histoire!

-Ahhh, je suis trop nulle en stratégie! Bon, euh, ont vas s'y prendre autrement. Artax, est-u capable de poursuivre ma belle?

La Jument se dresse sur ses pattes arrières. Malgré sa blessure ruisselante, elle semble prête à poursuivre.

-Okay, alors on vas faire ça en vitesse ma grande! Vive-attaque sur ce papillon! Vivi, fait de ton mieux contre le matou!

Ce dernier souffre d'une brûlure laissé par la Galopa, mais il en faut plus le mettre à terre c'est évident.

La nouvelle tactique fonctionne. Artax, même si elle n'a plus que trois pattes intactes prend de la vitesse et charge le papillon. Sa longue corne déchire une aile de l'insecte qui s'effondre dans l'herbe du jardin. Malgré l'adrénaline, je vois bien que la jument tremble sur ses pattes, un long filet de sang coulant le long de sa patte blessé. Il faut vraiment en terminer avec ce combat avant que l'irréparable ne se produise! Je serres les poings et voilà que j'encourage bruyamment mes compagnons. Big Ben, qui flotte toujours à côté de moi laisse quelques petits éclairs flotté dans l'air, motivant lui aussi les deux combattants.

Le félin fait moins le fier. Lui qui se déplaçait au sol tel un prédateur, le voilà plutôt traîner de la patte, sa queue bien base. L'odeur de fourrure roussi empli l'air, preuve olfactive du feu qui gruge toujours son chemin dans ses poils. Pauvre bête. Je n'aime pas blessé les pokémons sauvages, j'ai toujours cette crainte que peut-être, un autre va en profiter pour l'achever. Mais un statut infligé? C'est pire. Il risque de ne tout simplement pas s'en remettre! D'un autre côté, je n'es pas grand chose sous la main pour le soigner, à moins de sacrifier mon matériel d'expédition et... Est-ce que la vie d'un pokémon qui m'es inconnue vaut plus que celle de l'un de mes compagnons? Je déteste ça, mais je crois que je vais être égoïste cette fois...

Le Gros matou est tout de même plus rapide que le mouton et lui balance un Jackpot à la tête. Je regarde la fausse argent qui est projeté au sol. Est-ce que dans l'ancien monde cela avait de la valeur?

-Allez les amis, encore un petit effort, vous en êtes capable je le sais!

Voilà le Persian et le Galopa qui fonce l'un vers l'autre. Le félin saute au dernier instant, atterri sur l'encolure du cheval et y plante violemment ces griffes. La jument henni puis ce laisse tomber sur côté, écrasant une bonne fois pour toute son adversaire. Le silence retombe dans le jardin et un vent qui vient de nulle part balaie l'herbe. J'aspire un grand coup tendit qu'Artax se relève avec grande peine. La jument boite beaucoup et je m'approche d'elle pour vérifier ses blessures. Rapidement, j’entreprends de nettoyer les plaies au minimum avant de la rappeler en sécurité dans sa pokéball. C'était là son dernier combat.

Vivi se rapproche de moi, chapeau entre les pattes, inquiète pour son amie. Je lui souris et lui offre un gros câlin pour la consoler.

-T'inquiètes ma Vivi, Artax est faite forte! Elle va s'en remettre. Elle va garder des cicatrices je crois, mais sa lui fera une belle blessure de guerre d'on elle pourra parler avec fierté non? Alors tu dois en faire autant. Les pokémon sauvages que nous rencontrons sont très puissants, c'est normal que vous ayez de la difficulté à faire face. C'est pourquoi ont travail en équipe aussi! Qui a-t-il Big Ben?

Le Clic nous interromps, ce qui est très rare venant de sa part. Il sautille sur place jusqu'à ce que nous lui emboîtons le pas. Plus loin, derrière un muret de pierre recouvert de plante grimpante, se dissimule une porte. Pas une arche, comme toutes les autres non! Une porte en acier, différente de tout ce que j'ai vue depuis mon arrivé sur l'île. Un indice pour retrouver la sortie? Peut-être, et il n'y a qu'une seule façon de le savoir...

J’attrape la poignée et après un regard échangé en direction de Big Ben, j'ouvre en grand la porte.

-Ihhhhah!

Je recule brusquement, mais je refuse de lâcher la porte, point d’appui primordial qui ne se ferme plus. Devant moi? Rien, le vide absolue. Heureusement que j'ai ouvert sans y poser le pied! Je sens un engrenage qui s'accroche à mon sac à dos et me tire de force sur l'arrière, me fait tomber sur mon arrière train. Ouf, c'est pas passé loin! Mais... Une porte qui n'ouvre dans rien, sérieusement? Désormais avisé de la situation, j'avance à quatre pattes histoire d'être certaine de ne pas tombé. Là, ma tête émerge d'une parois lisse et sans fin. Plus étrange encore que le vide qui me fait fasse, c'est qu'il y a des portes un peu partout sur ce mur géant. Et cette étrange sensation familière qui me tire le nombril...

-Bb, je crois que de l'autre côté de la porte, la gravité est encore inversé... Peux-tu vérifier pour moi s'il-te-plait?

Comme il flotte, pas de risque! Non? Il passe la porte et aussitôt, le voilà qu'il se rapproche de la parois comme du sol. Il tourne en rond un moment avant de me faire signe de le suivre. J'accepte malgré la peur du vide, confiante en mon pokémon. J'agrippe le mur et tout comme je l'utilise comme point d’appuis pour me sortir de là, ma gravité change de position et le mur devient le sol. Ouf, parfait! Une plaine infini de porte dans le planché s'offre désormais à moi...

-Allez, on va en ouvrir quelques unes, il doit bien y avoir cette sortie quelque part!

Nos pas résonnent dans le grand tout vide qui nous entoure. L'endroit est fascinant. Aucune source de lumière visible et pourtant, même si je devine la noirceur, je suis apte à percevoir mon environnement et je me déplace sans crainte. Le noir n'est pas absolue dirait-on. À moins qu'il y est bien une source de lumière, mas si diffuse à part égal que je ne peux en percevoir la source? Cela pourrait être plausible oui. Un peu comme une nuit sans lune, le ciel partiellement recouvert et nous à nous tenir sous le couvert des arbres. La lumière est si bloqué dans son chemin que l'on ''aperçoit'' la forme des choses sans dénoter de rayon de lumière. Évidemment, la logique nous informe que la lumière provient du ciel... Mais ici, là tout de suite, impossible de savoir. Je ne suis même pas certaine si je marche au sol, sur un mur où un plafond alors! Tant que je vois, c'est bon pour moi!

Nous arrivons proche d'une toute première porte. Apprenant de mes erreurs précédentes, je me pose à quatre pattes avant même de la toucher. Augmenter le nombre de point de contact avec le sol afin de diminuer les risque de chuter. Je tourne la poignée et aussitôt, la porte est tirer vers le bas. Je lâche prise, la laissant s'ouvrir grande toute seul. Pas de labyrinthe, pas de jardin, juste le vide infinis, une sorte de pluie. La porte frappe la parois en s'ouvrant, lançant un son en écho dans le trou qui résonne à l'infini.

-Hum... Non, définitivement pas par là... Allez, ont va en essayer une autre!

Je m'éloigne un peu du gouffre sans fond avant de me redresser. Je n'es pas une peur irréaliste du vide, cela ne m’empêche pas de prendre mes précautions. Surtout dans ce lieux loin de tout! Allez, il y a encore des dizaines de porte qui s'offre à perte de vue. Je dois en choisir une. Je jette mon dévolue sur la plus proche. Elle n'est pas plus intéressante qu'une autre et justement, le seul moyen de m’assurer de ne pas rater la bonne, c'est bien de touuuuutes les vérifier, non? Ainsi, je répète la technique, toujours et encore. Genoux au sol, ont ouvre la porte, on regarde de l'autre côté.

Je découvre plusieurs accès aux labyrinthe d'on je viens de sortir, alors pas question d'y retourner. Je suis tombé sur une porte qui n'ouvrait pas du tout et une autre qui s'ouvrait dans le sens inverse. Derrière, un mur de brique. Des portes en bois, en acier, style japonaise en papier, il y en a de toutes les couleurs et pour tout les goûts! Derrière l'une, j'entends des rugissement surpuissants qui font trembler l'air, je ne m'y risque pas. L'une est aussi froide au touché qu'un glaçon sur une banquise, je passe aussi. Finalement, après une recherche qui semble durer une éternité, je me retrouve devant la porte de bois la plus banale de toute. Chaude au touché, j'ai l’impression d'entendre le vent souffler sur l'autre versant. J’entrouvre, curieuse, toujours aussi motivé.

Devant moi s'offre à mon regard l'une des forêts les plus luxuriantes et merveilleuse que j'ai eu la chance de voir.

Lentement, une jambe à la fois, je passe le cadre de la porte. La gravité s'ajuste de l'autre côté aussi, je me place sur la section qui me paraît être le haut de la porte pour ressortir de l'autre côté aux pieds d'une arbre. Je me retourne et assiste à la sortie de Big Ben. Sauf que le Clic ne m’apparaît pas à passer le cadre d'une porte non. Il semble sortir directement de l'écorce de l'arbre. Je cligne des yeux, surprise de découvrir ainsi que désormais, la porte est camouflée. Comment retenir sa position si je souhaite revenir sur mes pas?

-Ah, suis-je bête!

J’attrape ma canette de craie en canne et marque l'arbre. Le X ainsi tracé en blanc éclatant sera facile à retrouver! C'est juste...

-Fou... Cette illusion est si parfaite! Je jurerais pouvoir toucher l'écorce et … Oh...

Je touche l'écorce oui. De l'écorce, pas du tout le bois d'une porte. Je tâte, donne des petits coups, mais non, rien ne change. Plus de porte, aucun retour en arrière possible. Je soupire et appuie ma tête contre l'arbre, un peu décourager. À croire que je ne sortirais jamais d'ici! Chaque fois que les choses semblent bien aller...

-Ahhhh!

Je me redresse et tape du pied. Non! Non non non! Je sais ce que tu es en train de faire cher cerveau, tu ne me feras pas douter! Venir ici n'était pas une erreur! Enfin, pas encore... Et histoire de le prouver, autant continuer à chercher la sortie, nah! À peine ma canette est de nouveau dans mon sac et que moi je suis prête à poursuivre mes recherche que je me fiche. Je rêve, ou j'ai entendue une branche craqué?

Voilà Big Ben et moi qui nous retrouvons dos à dos, tel des pistoleros conscients de tomber das un guet à pend. La tension monte alors que le temps passe. Tout autour de nous, je n'aperçois pas le moindre ennemi. Pas d'ennemis non, mais il y a vraiment quelque chose qui cloche! Cet arbre... Ne vient-il pas de changer de position? Et ce buisson, il n'était pas là avant non? Je fronce les sourcils, analyse les alentours avant de finalement apercevoir ce qui cloche. Là, il y a une liane qui bouge. Et pas qu'une! Maintenant que je fais gaffe, ce sont tours les plantes qui semblent être animé!

-Ihh! Mais c'est quoi cette histoire?!

Y as-t-il un pokémon possédant la capacité d'animer la végétation? Quoique, ce n'est pas vraiment le bon moment pour m'interroger sur ce détail, mais pas du tout! J’interpelle mon Clic et voilà que nous prenons nos jambes à notre cou. Pas question de rester un instant de plus là! Comme pour me prouver que mon instinct était le bon, je dois tirer sur mon sac à dos car une liane avait entreprit de s'y accrocher en cachette. Un vrai de vrai piège! Je saute par-dessus une grosse racine alors que mon compagnon d'aventure l'évite le plus vite possible à côté de moi. Tout comme nous entrons en action, la nature semble changer de vitesse. Les lianes qui étaient d'abord subtile et bougeait à la vitesse d'un Caratroc change de tactique. Les voilà qui fende l'air et cherche à nous agripper. L'une d'elle parvient à m’attraper au poignet et je lâche un petit cri, surprise par la douleur lorsque mon bras est subitement tiré vers l'arrière.

J'ancre mes pieds au sol, tire de toutes mes forces pour me libérer. Heureusement, Big Ben est rapide à intervenir. En moins de deux, il commence à faire tourner très rapidement ses rouages et s'approche de la liane traîtresse. Elle se coince rapidement entre deux dents d'acier et sous la pression exercé, elle se fait trancher, me libérant sans plus de délais. Parfait, car il y en a déjà plusieurs autres qui se ramènent!

-Merci! Maintenant, cours!

Je ne tarde pas à suivre mon propre conseil. Malgré tous nos efforts, la végétation se referme sur nous, bloque des passages, nous agrippent dès que possible. J'ai une pensée pour Artax. La Galopa, parfaite monture de course aurait été idéal pour effrayer les murs végétaux et nous permettre de fuir très rapidement et très loin! Rocksteady à évolué et donc, ne peux plus me servir de monture. Ah! Que j'aimerais avoir des ailes! Oh. OHHHH! Là voilà l'idée parfaite! Je place ma main sur le bas de mon sac à dos, inscrit malhabilement un numéro sur le clavier numérique qui s'y trouve et rapidement, une nouvelle pokéball m'es offerte. Allez! Je dois juste trouver le moment propice pour le faire sortir de là! En attendant..

-Bb! Il faut... Que tu re... retourne dans... ta pokéball!

Parler en courant, c'est pas facile et super essoufflant! Il refuse évidemment, lance des étincelles ce qui me distrait assez pour me prendre les pieds dans un buisson. Je m’écrase au sol, épuisé. Je n'es pas dit mon dernier mot! J'active la sphère d'acier et Chocobo fait son apparition. Aussitôt, le Clic se calme, comprenant mon plan.

-Tu vas avoir droit à la course de ta vie!

Sans plus protester, Big Ben accepte de rejoindre sa pokéball tendit que le Dodrio regarde les environs. Des trois têtes, deux son surprises de la situation. La première lâche un cri, furieuse contre une liane qui a tenté de l’attraper, la seconde se recule vivement, cherche a fuir tendit que la troisième... Dort, fidèle à son habitude. Enfin, pas le temps de s'attarder! Je me relève comme je peux, grimaçant sous l'élancement de ma jambe qui n'a pas tourné adéquatement lors de ma chute. L'émeu a trois têtes comprends mon intention dès que je pose la main sur son dos et se penche un peu, afin de m'aider à grimper. Même que la tête effrayé m'attrape par le sac à dos pour me tirer sur place. Tout pour partir plus rapidement!

-GO GO GO!

Je suis pas tout a fait bien installé, mais qu'importe, c'est le moment ou jamais! Le Dodrio avance, chaque foulée de ses longues pattes gagnant un peu plus en vitesse. En même pas vingt seconde, non seulement nous sommes sortit de la zone aux lianes étrangleuses, mais en plus nous quittons la forêt luxuriante pour une grande plaine. L'herbe est haute et verte, le soleil m'aveugle sur le coup. Chocobo lui est heureux, ravi de pouvoir courir sans retenue. Une tête hurle, l'autre rigole et la troisième, miracle! Elle est réveillé et regarde d'un air béat le paysage enchanteur. Moi? J'éclate de rire! Vif et bruyant, sans aucune retenue, heureuse que nous en soyons sortit en un morceau. C'est tellement mieux que de devenir un ensemble de pièces détacher!