The Blackout

Dystopie n’eut pas à réfléchir très longtemps. Oui, si Sun Cheong était concernée, ça changeait tout. C’était un peu de sa faute, finalement, si Sun avait mis la main sur ce Porygon. De toutes façons il fallait qu’elle bouge d’Hikarin. Le paquebot était gigantesque mais ça restait une épave : fouiller les zones sécurisées ne prendrait pas longtemps aux rangers. Et elle n’avait pas spécialement d’amis pour la protéger dans le coin

- Someday, où est-ce que je peux trouver Sun Cheong ? Tu as une idée, avec le hack ?

L’intelligence artificielle clignota un peu.

- Désolée Dystopie, je suis en peu lente, je crois. C’est d’avoir perdu l’accès aux serveurs. Je crois.

Elle marqua une pause ponctuée de quelques bips.

- Je n’en sais pas plus que ce que vous avez déjà noté, Dystopie, madame. La piste de Sun Cheong disparaît à Sewari. Le hack actuelle m’est intraçable.

Dystopie réfléchit longuement. Il fallait qu’elle parte. Plus elle partait dans un endroit reculé, plus ses chances d’échapper à la Sunrise augmentaient. Si la piste de Sun Cheong stoppait à Sewari, alors elle n’avait qu’à aller à Sewari. L’endroit était dangereux et difficile. Personne n’irait la chercher là-bas.

Cobalt observe son SIS un moment, désappointée, puis se tourne vers la femme qui vient de parler. Elle est grande, plutôt classe, et une peau mate ornée de tresse. Chouette, se dit Cobalt. Une meuf cool avec qui parler. Elle en oublierait presque son S.I.S.

- Vous avez le même problème ? Oui apparemment tout le monde a le même problème… Toutes mes recherches sont enregistrées là-dessus, je ne sais pas ce que je vais faire si les données sont perdues ! Je viens de passer l’après-midi à tout enregistrer...

Le vieil homme lui tapote gentiment l’épaule.

- Je suis sur que c’est rien, jeune femme. Vous n’avez vraiment aucune copie ?

Cobalt soupire.

- Aucune ! J’ai quelques notes manuscrits mais c’est tout… Même les photos de documents sont sur mon S.I.S… Si je perds tout je suis foutue ! Foutue !

Elle se retourne vers la femme plutot cool qui lui a adressé la parole.

- Vous connaissez une bonne adresse de réparateur ? Vous pourriez me montrer ? Ou m’y emmener ? Ah, m’y emmener ça serait encore mieux.

Elle se lève, surexcitée.

- Je vous suis ! Allons-y vite, on ne sait pas combien de temps on a avant l’effacement des données ou je ne sais quelle connerie !

Le Krabby avait évolué en Krabboss et était maintenant sous la protection d’Anna. Après quelques minutes d’intense lecture, Manaus finit par accepter de poser son livre et jeta un oeil au SIS d’Anna. Elle fronça les sourcils. Puis elle jeta un oeil à son propre S.I.S. Il était dans le même état. Elle fronça les sourcils à nouveau.

“C’est curieux… Les veilleurs n’ont pas les moyens de ce genre d’action normalement. ”
“Il n’y a rien qu’on puisse faire ?”
Manaus se gratta la joue, visiblement ennuyée.
“Pas que je sache... ”
Elle se gratta à nouveau la joue, semblant réfléchir à toute allure.
“A ma connaissance il faut hacker une antenne du S.I.S pour faire ce genre de trucs. Mais des antennes il y en a plein. Ils ne peuvent pas les hacker toutes... ”
Elle marque un temps, semblant réfléchir, puis :
“Ou alors ils ont hacké l’antenne principale d’Asie du Sud-Est, qui se trouve à Ykito. Ce qui serait encore le plus logique. ”
Elle hausse les épaules.
“Ils ont Khiem là-bas. Et tout un tas de dresseurs très motivés. Ils vont rétablir ça en un rien de temps. ”
Anna la regarda, déçue. Anna était souvent déçue, il faut dire.
“Mais alors on ne fait rien ?”
Manaus reprit son livre et sourit.
“Si, si, Chica. On bouquine et on bronze. Va te baigner et profite de ta journée à la plage. ”

Seraphine :
Khiem prends la tête du petit groupe de dresseurs et de scientifiques et sort de l’arène ; puis il prends la direction de la sortie de la ville. Partout, les gens semblent stressés et pianotent vainement sur leur machine S.I.S., sans succès. Khiem n’y prête pas attention. Ils sont six ou sept à avancer avec lui, moins d’une dizaine, tous sur leur gardes.
“L’antenne se trouve en haut de l’ancienne tour de Tokyo, enfin ce qu’il en reste.” dit-il en pointant la tour à moitié cassée. “On va pas tarder à arriver. Je vous conseille de sortir deux de vos meilleur pokemons. Si les Veilleurs sont toujours là, ça va castagner.


Cobalt :
La femme rit légèrement et se lève à son tour. En plus d’être cool, elle est drôlement grande. Elle pointe du doigt une rue adjacente et dit :
“Suis-moi. Il s’agit du magasin d’électronique Jeffreys&Sons. Ils ont de tout mais ils sont surtout spécialisés dans l’électronique de pointe. Ils ont des outils qui leur permettent de ressusciter les machins pré-cataclysme, et tous ces trucs auxquels je ne comprends rien.”
Et sans attendre ta réponse, elle se dirige vers la rue adjacente.

Compagnie Manaus :
Comme vous avez décidé de ne rien faire et de bronzer, il ne se passe plus rien d’intéressant dans votre journée. Aucun Krabby ne vient plus vous déranger, aucune demoiselle en détresse, aucun S.I.S. à réparer. Juste le soleil et la mer.

Dystopie avait pris sa décision. Il fallait qu’elle rejoigne Sewari au plus vite.

- Someday, il y a un bateau, un navire ou une péniche que je pourrais emprunter vers Sewari ?

L’intelligence artificielle marqua une longue pause, puis :

- Désolée Dystopie, madame. Je n’en ai aucune idée. Je ne suis plus connectée aux serveurs.

Dystopie soupira. Sans accès réseau, l’intelligence artificielle ne servait vraiment à rien.

- Cependant, Dystopie, madame, je peux vous indiquer l’endroit où les transports de contrebande ont lieu. Je veux dire, le chargement et le déchargement. Vous pourrez payer en black pokedollars. Ce qui est pratique vu que les paiements en pokedollars ne marchent plus.

Dystopie soupira, cette fois de soulagement.

- Oui, dis-moi s’il te plaît.

A nouveau quelques bips,  puis :

- Il y a une petite crique en dehors de la ville, au nord. Vous ne pouvez pas la rater. Normalement les dissidents s’y retrouvent pour charger et décharger des cargaisons.

Parfait, songea Dystopie. Elle n’avait plus qu’à quitter cette ville de mort où tout le monde voudrait bientôt sa peau et embarquer pour Sewari.

Félicia trouve l'endroit idéal pour travailler sur son problème avec son SIS et, qui sait, peut-être se trouver de l'information sur ce qui leur arrive en ce moment. La boutique sera l'endroit idéal, si le commis lui permet de travailler avec son atelier.

Une fois qu'elle pénètre à l'intérieur du magasin, l'employer la reçoit avec le plus grand enthousiasme qui soit. La jeune dresseuse ne peut qu'espérer qu'il ne soit pas aussi borné sur la politique du magasin qu'il est heureux de travailler aujourd'hui !

- Oui, vous pouvez peut-être m'aider. Vous me permettez d'emprunter votre atelier pour quelque minute ? J'aimerai travailler sur un problème avec mon SIS et j'ai laissé mes outils chez moi... D'ailleurs, avez-vous vu l'étrange message qui est apparu sur les appareils ? C'est étrange que Sunrise n'est pas pu empêcher ce groupe d'agir sur leur réseau !

Va-t-elle avoir le droit de travailler sur son SIS ici ou devra-t-elle laisser l'employer le faire à sa place ? Peu importe le choix pour son Dardargnan, qui semble endormi sur le dos de la jeune dresseuse comme si elle porterait un sac-à-dos personnalisé. Félicia, bien sûre, préférai que l'on l'a laisse jouer avec son appareil, par raison qu'elle l'a déjà fait plus d'une modification personnelle sur lui et qu'elle ignore comment le commis réagirai en les voyant... Elle ne veut surtout pas avoir des problèmes pour avoir jouer avec les produits que Sunrise leur confit en tant que dresseur !

Vald avait beau interpeller tout plein de gens, la seule réponse qu’il ait pu obtenir était des haussements d’épaules ou des signes négatifs de la tête… C’est dans ce genre de moment qu’il aimerait bien avoir une Minami ultra calé en informatique et mécanique à côté de lui…. Tout ce que Vald savait faire c’était regarder étrangement l’outil avec son écran incroyablement blanc tout en ne sachant pas quoi faire.

« Vald !... apparemment tu es loin d’être le seul à avoir un problème. »

A l’entente des dires de la petites filles le jeune homme releva la tête.. Entouré de tout plein de gens, en effet, nombre d’entre eux, tapotait comme une bande de babouins braillards et empotés leur Sis tout blanc sans savoir quoi faire… Donc tout le monde était dans cette situation..
Le petit duo avança donc dans la ville, sous l’épaisse chaleur, jusqu’à apercevoir un jeune garçon qui, malgré l’aura de panique qui entourait les détenteurs d’un Sis, lui était paisible, un visage sans trop d’expression, pianotant à tout va sur un appareil qui ne devrait pas fonctionner.
Vald accompagné de Julia s’installa nonchalamment près du jeune garçon.

« Bah dis donc, ça doit être vachement bien d’avoir un Sis fonctionnel comme le tiens, tu veux bien m’expliquer ? »

Bien sûr il le dit sous le ton de l’humour… mais il était plutôt du genre sérieux, soit le gamin était un petit génie informatique ou bien il avait quelque chose à voir avec les sois disant veilleurs.
Peut-être qu’avec la présence d’une enfant à peu près du même âge que lui il sera plus à même de répondre.

La femme qui tien l’accueil n’est pas très accueillante si l’on puis dire mais, elle offre une information forte intéressante à notre jeune dresseur. Il semblerait que tout les SIS des personnes qui en possèdent un, subissent le même problème qu’Axel, ce qui voulait dire que ce n’était absolument pas viser ou presque. Car, en vue du message laissez, ses hackers visent la compagnie Sunrise, ce qui emmerde bien notre jeune dresseur qui ne veut absolument rien à voir avec eux.

Bon, merci de l’info. Je vous laisse, bon courage.

Notre jeune dresseur laisse la gérante de l’accueil en passant par les portes du centre, pour se rendre dans le lieu indiqué par cette dernière. Apparemment il aurait un centre de réparation qui pourrait peut-être régler le problème d’Axel, qui ne tente rien à rien comme on dit. Notre jeune dresseur prend la route qui mène à ce fameux centre qui se trouve à une centaine de mètres du centre pokémon pour y faire examiner son SIS en panne. Bien qu’il se doute, qu’il y aura un monde fou pour faire réparer leurs SIS car encore une fois, le virus cible tous les appareils de la Sunrise. Mais, Axel garde la fois, il s’était déjà sorti de situation bien pire que celle-là.

- A-Ah... Non non aucun soucis.

Bon, ça pouvait difficilement être pire. Noah était donc condamné à grimper, grimper et encore grimper. Au dessus du vide bien sûr, sinon jamais cela n'aurait été drôle. S'il revenait en un seul morceau pour faire son arène, il aurait de la chance. Dire qu'il n'était censé rester qu'une nuit et quelques heures dans cette ville, le temps de battre l'arène vol fissa avant de redescendre de cet enfer. La sensation de la terre, du dur, du sol, lui manquait terriblement. Il se voyait déjà, comme dans les films, embrasser la terre lorsqu'il y mettrait enfin les pieds. Jamais il n'aurait cru que le simple fait de ne pas être en l'air serait son voeu le plus cher.
Quoiqu'il en soit, la dénommée Maria-Luiza avançait déjà parmi les passerelles, telle un écureuil qui n'aurait jamais touché le sol de sa vie. Elle semblait connaître par coeur cette ville et ses environs, n'hésitant pas une seule seconde avant d'emprunter telle ou telle passerelle.
Si ils continuaient à monter, ils atteindraient bientôt la lune. Noah vérifiait machinalement que ses pokéballs étaient bien là où elles étaient censées être, histoire de ne pas se retrouver sans ses précieux amis lorsqu'un ennemi leur tomberait dessus. Ici, seul Racaillou ne serait pas à ses aises.

- On est bientôt arrivés ?

Demanda timidement le dresseur, intimidé par la hauteur. C'était la première fois qu'il voyait un ranger, autre que sa mère. Ce métier devait être très intéressant, mais pour l'heure Noah préférait être libre de chacun de ses mouvements et pouvoir se balader et progresser à son rythme.

Felicia :
L’employé te regarde d’un air morne puis te montre du doigt un plan de travail juste à côté de lui. Il a l’air peu intéressé par la question. Quand tu lui parles du message des veilleurs, il semble s’en ficher totalement.
“La Sunrise va réparer ça rapidement. C’est sur.”

Vald :
Le petit garçon vous dévisage d’un air fier.
“C’est mon papa qui l’a réparé ! Mon papa il est super fort ! Le sien il a marché direct ! Il fait plein de trucs bizarres dessus ! Mais je suis pas sensé en parler !”

Axel :
Alors que tu suis la route indiqué par la femme, tu tombes effectivement sur une boutique de réparation. Il n’y a bizarrement pas trop de queue. Si tu attends un peu que le monde passe, une vendeuse t’accueillera chaleureusement et te demandera quel est ton problème avec une pointe d’ironie dans la voix.

Noah :
Maria-Luiza te montre un bâtiment devant, avec une aiguille sur le dessus. Le coin a l’air vide, mais elle sort malgré tout une pokeball de sa poche et invoque un Rapasdepic borgne. L’animal a l’air d’assez mauvais augure.
“Prépare-toi, il pourrait y avoir du grabuge.”
Elle s’est déjà placée et prête à pénétrer dans le bâtiment par la force. Même si à vue d’oeil, il n’y a personne.



// hrp //
Du coup les histoires de Cobalt, Neige, Anarchie et Seraphine se finiront dans leur topic respectifs !

Noah déglutit en observant le bâtiment lugubre. Enfin, il ne l'était pas tant que ça. Mais un truc dirigé vers le ciel à plusieurs centaines de mètres d'altitude était pour Noah quelque chose de lugubre. Il ne manquait plus que quelques corbeaux qui croassent et le l'endroit serait certifié hanté. N'y avait-il pas d'ouvrier, d'employé ou n'importe quel personne travaillant ici qui aurait pu réparer le bâtiment ? Les rangers étaient décidément très polyvalents. Ou peut-être qu'on vérifiait simplement que tout allait bien de temps en temps, sans qu'il y ai constamment quelqu'un de présent. Dans ce cas, avec les moyens de communications bloqués, impossible de prévenir les réparateurs. Ouais, les rangers étaient très polyvalents.
Maria-Luiza sortit une Pokéball, de laquelle s'échappa un Rapasdepic, sorte de gros oiseau l'air pas commode, à qui il manquait un oeil par dessus le marché. Symbole de nombreux combats acharnés ou d'une faiblesse pitoyable ? Noah ne chercha pas à en apprendre plus, de peur de vexer la dame (et surtout son piaf) et déjà bien mal à l'aise à l'idée d'être au dessus du vide. Pour sa part, il sortit Massko de sa Pokéball. Nosferapti était encore trop flipette pour ce genre de mission et les deux autres étaient réservés pour se farcir l'arène. Le type plante apparu devant lui et son dresseur lui expliqua rapidement la situation. De toute façon, Massko n'était pas le genre de Pokémon qu'il fallait absolument rassurer. Il s'adaptait facilement à toute situation.

- Je suis pr... Le dresseur se coupa pour toussoter en entendant sa voix d'ado muant et légèrement apeuré. Je suis prêt.

Il fit un pas vers l'entrée du bâtiment mais, grand seigneur, laissa la ranger y pénétrer en premier.

- Honneur aux dames.

Avec un léger sourire, il cachait sa trouille derrière de l'humour, provoquant un regard au ciel de Massko.

Félicia voit le commis comme une batterie bientôt à plat et elle aurai bien envie de sortir Midas pour lui redonner un coup de fouet tellement qu'il ne semble clairement pas intéressé par son travail. Elle serait une criminel sans vergogne, elle n'aurait aucun mal à le mettre hors d'état de nuir et elle pourrait s'approprier tout le matériel qu'elle voudrait. Alors, si quelqu'un d'aussi gentil qu'elle peut avoir se genre de penser, une personne au intention moins bonne s'exécuterai au lieu de seulement d'y penser.

- Merci. Et oui, je l'espère aussi. Sinon, je ne vois pas comment nous allons recevoir notre paye ! Du moins, c'est mon cas à moi. Je suppose que vous l'avez en liquide ?

Malgré la question, Félicia ne reste pas pour écouter la réponse. C'était plutôt pour qu'il gagne un brin de vie en réalisant que le problème de réseau touche tout le monde qui en dépend et qui pourrait l'inclure dans le lot.

Mais il marque tout de même un point : Sunrise aurait dû dégât réussir à régler le problème, vu les ressources qu'il dispose. Alors, pourquoi cela ne s'est-il pas déjà réglé ? Rencontre-t-il un problème plus compliqué que prévu ? Si c'est le cas : comment un groupe dont elle n'a jamais entendu parlé ont réussi un coup aussi gros contre la compagnie la plus puissante du monde ?

En temps normal, elle aurait laissé le temps arranger les choses, mais c'est un problème qu'elle ne pas ignorer tant qu'elle aura besoin de ses accès au réseau pour profiter de ses revenus dans ses voyages. Alors, elle a dans l'idée d'aller voir l'un des bâtiments appartenant à la compagnie pour se renseigner davantage sur le problème. C'est à dire : le laboratoire de recherche d'Atlantia !

Elle se dépêche de terminer de travailler sur son SIS pour partir le plus rapidement que possible, non pas seulement parce qu'elle est pressé d'atteindre le labo, mais parce qu'elle pense que la boutique risque d'être remplis très bientôt d'individu qui voudront avoir leur SIS réparé et elle ne veut pas être là lorsque ça vas se produire !

Vald avait un peu peur que le loupiot se mette à le craindre ou alors que simplement, il se mette a feindre l’ignorance et le juger d’un air bien trop hautain pour son âge, mais non … Contrairement à ses pensées de mauvaises langues le petit parut bien plus amicale et lui répondu sur un ton bien trop adorable. Vald s’apprêta à répondre, grand sourire sur le visage, il comptait continuer sur le même jeu lorsqu’il s’aperçut que le petite enfant qui l’accompagne se lève et se place devant  l’enfant qui a l’avantage d’avoir à peu près son âge.

« Ooh ton papa est fort en mécanique ? J’aurai des questions à lui poser, je m’intéresse beaucoup à tout ça… mais mon grand frère n’es pas très doué donc j’aimerai bien rencontrer quelqu’un qui s’y connait… Tu peux me dire où il se trouve, s’il te plait? »

Elle le regarda tout sourire, tandis que Vald…. N’osa rien dire… Il ne savait même pas si ces dires étaient la stricte vérité ou un ramassis de mensonge pour amadouer le gamin…. Auquel cas…. Serait-elle, à même pas dix ans plus débrouillarde qu’un jeune homme de vingt-cinq ? …. Non dans tous les cas il n’aimait pas le mensonge mais en l’occurrence… son reflexe le sauve.
Tous les deux regardèrent donc le petit garçon dans l’attente de ce qu’il allait bien pouvoir dire.
Il y a après tout pas mal de chance que son cher paternel aussi fort soit-il, sache quelque chose concernant le fameux message… OU…. Il pourra simplement réparer le Sis de Vald … ce qui l’arrangerai grandement…
La petite fille, complétement sûre d’elle fit même un clin d’œil au scientifique afin de lui faire comprendre de la laisser faire sur ce coup.

Noah: Le résultat est assez anti-climactic. A l’intérieur, il n’y a... Rien. Juste un bon vieux poste de contrôle. Un homme entre deux âges est assis là et vous regarde entrer sans grande surprise.
“Je sais pourquoi vous êtes là, mais cherchez pas. Le contact avec l’antenne de Manaus est coupé. Ça ne vient pas d’ici.”
Maria-Luiza range son Rapasdepic en faisant claquer sa langue nerveusement.


Félicia: Le gars ne semble même pas entendre votre question. Il s’en fiche. Vous décidez de prendre la direction du laboratoire de recherche.
Au laboratoire d’Atlantia, c’est la zizanie : tout le monde est affairé à faire… des trucs, mais quoi, ce n’est pas clair. Vous repérez néanmoins un attroupement devant une des sorties du labo. Des rangers apparemment, qui se préparent à partir.


Vald: Le petit garçon semble à peine plus jeune que Julia, mais l’intervention de celle-ci semble beaucoup l’impressionner. Il sourit largement et se donne un air important.
“Oh ben oui ! Il se trouve dans la cave, regardez, c’est juste là ! Je vous y amène ?”
Et joignant le geste à la parole, il s'avance vers l'entrée et lève la trappe.

C'était juste une idée, mais : qu'est-ce qu'elle a à perdre d'aller faire un tour au laboratoire d'Atlantia, au final ? Pas grand chose, en fait : soit elle trouvera toutes les réponses qu'elle souhaites, soit elle n'arrivera même pas à entrer à l'intérieur. Il y a bien meilleur chance d'avoir un résultat qui varie entre ces deux extrêmes et la jeune dresseuse se dit qu'elle devrait déjà réfléchir à son approche pour améliorer ses chances. N'étant pas Ranger une une officier Sunrise, elle ne peut tout simplement pas forcer son entré en matière avec autorité et elle se voit mal user de subtilité avec des méthodes qui frôle la légalité. La seule option qu'elle voit, c'est d'afficher ses exploits aux personnes responsable qui reconnait le système de Sunrise concernant les badges. Il est dit qu'une personne gagne en notoriété et peut utiliser le nombre en sa possession pour montrer son niveau de compétence, d'où le pourquoi défier les champions devient de plus en plus difficile, leur équipe tout comme leur position comparé à leur civilisation.

Ses quatre badges clairement affiché sur la sangle de son sac accroché sur son épaule, Félicia arrive devant un laboratoire extrêmement actif comparé à son habitude, comme quoi son idée n'est pas aussi mauvaise qu'elle ne le croyait. Elle songe a`tenter d’intercepté l'un des scientifiques pour le questionner, mais le groupe de gens, dont l'habillement lui rappel les équipes de Ranger de la région, semble être un meilleur choix pour commencer son investigation, surtout qu'ils viennent juste de sortir du bâtiment qu'elle voulait entrer au départ.

- Excusez-moi : vous êtes là pour le problème des veilleurs ? Y a-t-il quelque chose que mon équipe et moi pourrions faire pour vous venir en aide ?

Noah regarda l'homme assis mollement sur sa chaise, puis la ranger et ainsi de suite, l'air dépité. Ils étaient venus ici pour rien ? D'accord mais alors comment réparer les SIS de tout le monde maintenant ? Et surtout le sien d'ailleurs, parce qu'il ne comptait pas attendre des jours ici à attendre pour pouvoir faire son arène...

- Du coup on... Attend que les gars de Manaus réparent les communications ?

Si toutefois ce bordel venait de Manaus, mais c'est ce que l'adolescent avait compris. Il regarda Massko d'un air bête, ne sachant pas vraiment quoi faire. Lui s'en foutait pas mal de vivre sans technologie, ce chanceux. Rester là à attendre ne plaisait pas vraiment au dresseur. La situation n'évoluait pas assez vite à son goût et il craignait d'être coincé ici trop longtemps. L'impatient jeune homme regarda donc la ranger, attendant qu'elle prenne une décision. Ici, il ne connaissait rien alors autant se fier à elle. Tant qu'elle ne lui disait pas de galoper jusque Manaus chercher une solution dans la capitale. Ils avaient l'air ridicules, nus comme des vers sans leur précieux appareil. Noah ne pouvait même pas payer son hôtel, ni à manger, ni quoi que ce soit. Il était à poil.
Sa fé réfléchir.
We live in a society.

Notre jeune dresseur travers tranquillement les rues de Salamencia et tombe sur ce fameux centre de réparation. Étrangement il n’y avait pas beaucoup de monde, on pourrait presque que croire qu’il n’y avait pas de virus qui infecte les SIS du monde. Sans doute car, sais dernier non pas les moyen nécessaire pour réglé le problème, à moins que ce soit autre chose. En tout cas, Axel n’avait pas vraiment le choix, il devait faire la queue et demander de l’aide s’il veux réutiliser son SIS.

Bon ! Ça pourrait être pire j’ai envie de dire.

Axel fait la queue pendant de longue minute, à attendre que les clients passe les uns après les autres, c’était d’ailleurs très bizarre. La queue passé à une vitesse folle, au point qu’Axel arrive à l’accueille très rapidement. Une femme se dresse devant elle, une vendeuse pour être plus précis et cette dernier demande amicalement avec un certaine pointe d’ironie la raison de la venue de notre jeune dresseur. Axel arbore son sourire habituelle à la vendeuse et sort son SIS de sa poche pour lui montré à cette dernier.

Bonjour à vous, j’imagine que je ne suis pas le premier à demandé mais, mon SIS à cessais de fonctionné. Apparemment ça serais à cause d’un virus créer par des Hackers, vous pourriez faire quelque chose pour cela ?

Notre jeune dresseur se doute bien qu’il n’allait pas réglé ce soucis d’un claquement de doigt, surtout pour un virus créer par des Hackers. Mais, qui ne tente rien à rien.

Sa mère lui avait toujours di… de se méfier peu importe les apparences, ou de ne pas suivre les inconnus… mais est-ce qu’il doit vraiment se méfier d’un petit garçon proche de l’âge de Julia ? Ensuite qu’importe ou cela le mène… il aura une réponse à ses questions concernant le SIS. S’il pouvait récupérer son appareil ou même avoir une piste à suivre concernant les veilleurs… Bon les veilleurs il s’en fiche un peu mine de rien, il veut juste son appareil en état de marche pour continuer ses recherches… Bon sang il y a tout de même des honnêtes gens qui désirent travailler, qu’importe qui est l’employeur…
Le petit garçon amena le duo, le faisant rentrer dans le bâtiment puis… une trappe. Julia de toute sa naïveté descendit dans celle-ci en souriant au garçon, Vald était un peu plus méfiant mais bon…. Il n’allait tout de même pas laisser Julia toute seule donc il l’a suivi en compagnie du garçon.

Sa vue ne s’acclimatant pas immédiatement à l’endroit, Vald se risqua donc à prononcer quelque mots en espérant que c’est bien là où se trouvait le paternel mécanicien du petit.

« Hmm bonjour, navré de vous déranger, mais nous avons quelques questions à vous poser. »

La petite prit la parole par la suite.

« Vous voyez, j’aimerai bien être meilleur en mécanique, notre sis à eu un message bizarre et s’est déréglé, vous pouvez nous aider s’il vous plait ? Et me montrer comment faire ? »

Il ne dit rien, le jeune homme avait également envie de savoir si elle faisait ça parce qu’elle s’intéressait au fond à la mécanique ou si Julia se développait un certain don pour la comédie.

Ce topic a l'air abandonné. Je vais l'archiver pour que les participants reçoivent de l'XP bonus. Si jamais vous avez envie de le relancer, avec ou sans Anarchie, n'hésitez pas à faire un nouveau topic "suite" !

Tous les participants gagnent 200 XP bonus. Ça concerne donc Anarchie, Noah, Nate, Félicia, Axel, Vald, Neige, Seraphine, et Cobalt.

Je laisse le topic ici un petit peu pour être sûr que vous allez le voir, avant de l'envoyer aux archives.