Noah Greeden

Noah a peu de souvenir de sa petite enfance. Tout ce qu’il sait est né du prisme de l’histoire racontée par ses parents, dont il doute parfois de la véracité. Il serait né dans ce qui fut autrefois Embrun, bien loin de l’élégance et de la puissance dont elle pouvait autrefois se targuer. Mais il faisait partie des chanceux, ceux nés du bon côté, au bon moment. Dans la ville en reconstruction, ses parents étaient reconnus. Diplomates et connaisseurs, ils s’étaient rencontrés dans une école de fortune et ne s’étaient jamais quittés. Sarah et Yann se marièrent 7 ans avant la naissance de leur fils, Noah.
Durant ce temps, ils furent d’éminents membres de la communauté, actifs et mobilisant toutes leurs forces et celle des citoyens pour reconstruire ce passé perdu que personne d’encore vivant n’avait connu. A la naissance de Noah, ils faisaient partie des personnes les plus importantes de la ville. On les saluait dans la rue, on leur demandait conseil, ils approuvaient ou non des décisions importantes… Sarah, femme autoritaire et en quête d’action, siégeait au conseil municipal et avait la main mise sur la police balbutiante de notre cher Embrun, sans que cela ne satisfasse donc désir d’aventure. Yann, en revanche, était affecté à la section recherche, ce qui convenait parfaitement à son esprit plus scientifique et ingénieux.

Les souvenirs clairs de Noah commencent avec les absences de plus en plus fréquentes de ses parents. Âgé de 5 ans, il voyait par ses yeux d’enfant Sunrise s’implanter dans sa ville et en prendre le contrôle. Tout comme il prit celui de ses parents. En effet, grâce à leurs compétences, Yann fut enrôlé en tant que scientifique dans l’entreprise, travaillant désormais sur l’étude des Pokemons. Sarah, quant à elle, reçu très rapidement le grade de Ranger et pu enfin vivre cette vie de frisson dont elle rêvait tant.
Si ses parents avaient trouvé le bonheur –et l’argent, car ces postes payaient très bien, ce ne fut pas le cas du tout jeune Noah qui se trouva de plus en plus délaissé. Il grandit en ne voyant que très rarement ses parents, passant parfois plusieurs jours sans qu’ils lui adressent un mot, un regard, un appel. Avec leur salaire qui faisait des envieux, ils purent se payer une nourrice que Noah s’amusait à rendre dingue. Il prit le chemin d’un enfant turbulent et capricieux et les nourrices se succédaient sans réussir à obtenir son affection. Car la seule qu’il désirait, c’était celle de ceux qui payaient d’autres personnes pour lui en prodiguer.
Il devint la petite terreur de la cours de récré et, en grandissant, un adolescent bagarreur ne supportant pas qu’on lui dise non. Il revenait régulièrement à la maison avec des bleus et coupures, trophées de ses batailles quotidiennes. Régulièrement, il se faisait exclure quelques jours de son collège pour conduite violente ou insultes. Tout cela dans un but qu’il n’admit jamais : Attirer l’attention. Oh, il réussit. Mais il n’attira pas celle de ceux qu’il voulait : Ses parents n’avaient pas vraiment le temps pour ces sottises.

Un évènement rapprocha toutefois la famille. Mais Noah aurait préféré qu’il n’arrive jamais. Il avait 15 ans et comme depuis bien des années, il prenait son diner seul en regardant la télé. Il zappait de chaine en chaine sans rien trouver d’intéressant. Jusqu’à ce qu’une chaine d’information en direct attire son attention.
« Flash spécial : Une Ranger piétinée par un Tyranocif lors d’une mission dans le désert d’Europe de l’Est. »
Au début, il n’y fit pas vraiment attention. Les accidents des Rangers, ça faisait partie des nouvelles à sensations que les chaines s’arrachaient. C’est lorsque son téléphone se mit à sonner avec inscrit « Papa » sur l’écran que l’inquiétude le prit. Il n’appelait jamais.
Puis tout se déroula très vite pour un ado habitué à être à l’origine de ses propres problèmes.
On rapatria Sarah dans les plus brefs délais, le processus étant accéléré grâce à la position haut placée de son mari. Elle ne pourrait plus jamais marcher et passerait sa vie en fauteuil roulant. Pour une femme aussi active qu’elle, c’était la pire des nouvelles.

Avec un seul salaire pour subvenir aux besoins de son foyer, le père de Noah dû doubler ses heures, sacrifiant sa famille –si toutefois son précédent rythme ne l’avait pas déjà fait, mais aussi sa santé. Alors que Sarah lapidait tout l’argent durement gagné et économisé depuis des années pour trouver un moyen de marcher à nouveau, le jeune adolescent tenait vainement de nouer un lien avec l’inconnue qu’il appelait Maman.
Pourtant, alors qu’elle était enfin à la maison, elle n’avait jamais semblé être aussi loin. Son regard, qu’il n’avait rarement vu ailleurs qu’à la télé ou sur des photos, était plus terne et balayé de cernes. Les rares fois où Sarah communiquait avec son fils, c’était pour lui demander de lui apporter tel ou tel magazine, tel ou tel clé USB pour continuer ses recherches de prothèses.
Parfois, dans de rares moments, ils partageaient un repas et riaient ensemble devant la télé, une part de pizza à la main. Ces simples moments avec sa mère sont sûrement les plus beaux souvenirs de Noah. L’espace d’un cours instant, il revoyait cette lueur briller dans les yeux de sa mère et il se sentait être son fils. Mais une fois le repas fini, Sarah retournait travailler, appeler des spécialistes ou lire des articles sur les avancées de la technologie médicale.
Son père… N’était plus que l’ombre de lui-même. Il passait parfois des semaines entières sans mettre un pied à la maison et lorsqu’il revenait enfin, c’était en puant l’alcool et la sueur. Il ne vivait plus que pour son travail, s’en servant comme d’un voile le séparant de ses échecs : Son fils et l’accident de sa femme. Il devenait de plus en plus susceptible, hurlant pour un oui ou pour un non. Il devenait irresponsable, jetant des factures à la poubelle ou conduisant complétement ivre. Il était en plein burn-out.

Noah aussi changeait. Il se sentait responsable de sa mère et malgré la rancœur qui lui serrait parfois la poitrine, il ne désirait que son bonheur. Il devint adulte trop vite, trop tôt. Il dû s’occuper des factures, des soins médicaux, du ménage, de la cuisine, de négocier avec les inspecteurs des impôts pour laisser à sa famille une année, un mois, une semaine de plus dans cette maison dans laquelle il avait grandi. Mais entre ces murs froids et durs, il ne se sentait plus vraiment chez lui.

Tout vacilla le jour de ses 17 ans. Sa mère et lui avaient passé l’après-midi à confectionner un gâteau magnifique tout en discutant, riant, débattant sur des sujets divers et variés. Depuis quelques semaines, il la sentait revivre. Peut-être avait-elle trouvé un moyen de guérir de son mal, ou peut-être s’était-elle résignée. Quoiqu’il en soit, elle n’avait pas pleuré en faisant tomber un œuf, ce qui était un immense progrès. Yann avait promis de rentrer pour le dessert, ce qui, à la grande surprise de Noah, ne manqua pas.
Enfin, pas tout à fait. Noah pouvait-il considérer cet homme ivre mort, tenant à peine sur ses jambes et peinant à aligner deux mots comme son père ? Pas sûr.
Sarah pouvait-elle encore supporter la déchéance de son époux ? Encore moins sûr.

Les cris et insultes fusèrent entre les parents de l’adolescent. Chacun avait quelque chose à reprocher à son partenaire. Si amour il y avait eu, il était parti en fumée.
Noah se souvient encore très clairement du moment où son père a frappé sa mère, la faisant tomber de son fauteuil roulant.
Il se souvient encore mieux de la droite qu’il a ensuite mis à son paternel.
Ce fut en ce soir d’automne que la famille Greeden explosa pour de bon.

Tous se séparèrent et Noah vécu dans un foyer pour adolescent deux mois avant qu’un ami lui dise que Sunrise offrait un Pokemon à quiconque était prêt à travailler pour eux. Le travail pouvait bien payer si l’on était doué et Noah, sûr de lui depuis toujours, était persuadé qu’il se ferait rapidement un nom parmi les plus grands.
Mais Noah voulait-il vraiment travailler pour l’entreprise qui avait détruit sa famille ? Non. Mais avait-il vraiment le choix, devant cette promesse d’argent facile et de vie d’aventure ? Non plus.
Il prit la route d’un centre Pokemon, résigné, mettant pour la première fois de sa vie sa fierté de côté pour espérer survivre, lui qui avait toujours vécu dans l’opulence. Il se promit de vivre libre, sans nourrice, sans responsabilités, sans parents. Uniquement lui, seul, comme il l’avait toujours été.
Son premier Pokemon n’était qu’un moyen de parvenir à ses fins, certainement pas un ami.
Pour être certain de ne pas être tenté de revenir vers son ancien foyer, il prit le train en direction de l’Amérique du Sud, bien loin de chez lui.
Et si, en chemin, il pouvait détruire le Tyranocif qui avait paralysé sa mère, il ne reculerait pas.

Ainsi se termine le passé, et commence l’aventure.

Noah est loin d’être un enfant de chœur. Même si ces deux années à s’occuper de sa mère l’ont rendu plus calme et responsable, il n’en reste pas moins de nature violente et adepte du conflit.
Le jeune homme est susceptible et il est aisé de le pousser à la faute. Il s’avère être assez manipulable pour peu que l’on sache tirer sur les bonnes cordes. A la moindre provocation, c’est une bombe à retardement qui vous explose dessus. Soyez sûr qu’il n’aura pas besoin de ses Pokemons pour vous mettre à terre.
Il est prétentieux et imbu de lui-même, persuadé d’être une sorte de Messie qui saura se démarquer facilement des autres. Il refoule difficilement sa fierté et a un rapport très compliqué avec l’autorité, qu’il n’accepte tout simplement pas.
N’étant jamais sorti de sa ville natale avant ce fameux déchirement familial, il ne connait rien de la vie sauvage, ni des Pokemons. Il va tout apprendre sur le tas, sa curiosité et sa soif d’apprendre feront le reste. Il a une très bonne mémoire pour ce qui l’intéresse, mais oublie presque instantanément le nom de quelqu’un, ne retenant que le surnom –souvent humiliant- qu’il lui attribuera.
Noah est un petit con vantard qui ne se gênera pas pour se moquer de la défaite de son adversaire ou pour se retrouver dans des coups tous plus foireux les uns que les autres. Il a la langue bien pendue et se montre très franc, voire méprisant et insultant. Personne ne lui a jamais mis de limite et les autres êtres humains ne sont justes que des pions chiants et sans intérêts, présents uniquement pour l’agacer.
C’est un jeune homme cependant très expressif et dont le visage laisse lire toutes ses émotions. Même s’il ne voudrait bien, il a du mal à cacher ses sentiments et on lit dans son regard comme dans un livre ouvert.
Il méprise le danger et adore le frisson de l’aventure, tenant bien plus de sa mère qu’il ne voudra jamais l’admettre. Il est curieux et souhaite découvrir tout ce que personne ne sait, explorer de nouvelles contrées et devenir de plus en plus fort. Même s’il a grandi dans une ville bruyante, l’espace infini des plaines s’étendant devant lui ne l’effraient pas. Casse-cou et provocateur, vous pouvez être sûr qu’il se retrouvera toujours mêlé aux embrouilles de là où il passera. C’est bien simple : Il ne veut plus de cette vie paisible au même endroit, à ne sortir que pour aller se bagarrer à l’école. Il veut vivre à fond, pas comme son père dont la vie en laboratoire l’a rendu fou, pas comme sa mère qui s’est laissée dépérir. Il veut tout voir, tout entendre, tout faire. Que ce soit légal ou non, intelligent ou non.

Mais même s’il n’est qu’un monstre sans cervelle aux premiers abords, Noah a tout de même des qualités.
Sisi j’le jure.
Il ne s’est simplement encore jamais vraiment attaché à quelqu’un, tout simplement. Ses parents étaient des étrangers et la courte relation qu’il a eu avec sa mère était entachée par sa peur de la perdre ou de la voir se décomposer.
A vrai dire, il évite de s’attacher à qui que ce soit. Déjà parce qu’il ne veut pas s’encombrer qu’un compagnon de voyage qui lui ferait sans cesse la morale, et ensuite parce que s’attacher veut dire perdre. Et il ne veut plus que son cœur subisse à nouveau ce déchirement à la perte de quelqu’un.
Alors pour l’instant, il se plait dans la solitude et repousse violement quiconque se montrerai un peu trop gentil avec lui. Il pourra bien se faire quelques camarades, mais certainement pas d’ami. Du moins, c’est ce dont il est persuadé pour l’instant.

Il ne sait pas encore qu’il va tisser un lien puissant avec ses Pokemons, qu’il ne les considérera plus comme de simples animaux bêtes et obéissants, mais comme des amis.
Il ne sait pas encore qu’il est bien plus attentionné qu’il ne le pense et qu’il fera tout ce qui est en son pouvoir pour aider les amis qu’il n’a pas encore.
Il ne sait pas encore qu’il pourra se montrer courageux, à la limite de l’inconscience, pour aider un Pokemon en détresse.
Il ne sait pas encore qu’il pourra se montrer fidèle, sympathique et doux avec ceux qu’il aime.
Déçu par les humains, il se réfugiera parmi les Pokemons, qu’il ne laissera jamais souffrir.
Mais je ne peux que peu détailler l’histoire de sa rédemption et son évolution intérieure, car cela, c’est avec vous que je l’écrirai.

Et dans sa quête de la puissance et de l’indépendance, il pourrait trouver quelque chose d’encore plus précieux…

Noah est un jeune homme ma foi bien bâti. Entre son temps libre chez lui et ses bagarres à l’école, il a eu le temps de correctement se muscler et surtout d’apprendre à se battre. Même si ses deux moins dans le foyer ont nettement fait fondre ses muscles, il n’a pas oublié ses réflexes de combattant et ses muscles se reformeront rapidement lors de son périple.
Il est de taille moyenne, ni grand ni petit, comptant sur sa carrure et sa langue bien pendue pour impressionner la galerie. Il est assez élancé, voire fin, ses muscles n’étant pas très apparents. Assez osseux, il est loin d’être recouvert de graisse et même s’il reprendra un poids normal après ses deux mois en étant en foyer, il aura toujours l’air un peu maigrichon.
Sa peau est blanche, un peu maladive à sa sortie des bas fonds de la ville, mais comme pour le reste, il reprendra du poil de la bête à force de marcher au soleil.

Son visage est lui aussi assez osseux, bien loin des jolis visages tout rond des jeunes enfants. Il a la mâchoire carrée, les traits bien définis mais des lèvres trop petites à son goût ainsi qu’un nez fin mais trop long.
Ses cheveux sont châtains, en totale bataille : Il n’en a plus aucun contrôle. Se coiffer se résume à se passer la main dans les cheveux vers l’arrière puis les laisser en paix jusqu’au prochain coup de vent. C’est aussi un tic qu’il fait lorsqu’il est mal à l’aise. Il les a presque mi long, certaines mèches lui barrant parfois le regard.

Ses yeux, parlons-en. Ils sont assez petits, en amande, lui donnant un air de constamment froncer les sourcils. Ils sont de couleur noisette, dérivant entre le marron et le vert selon la luminosité.
Il porte constamment des cernes, résultat de son anxiété de l’extérieur : Il se réveille au moindre bruit, ce qui lui fait des nuits coupées en pleins de morceaux de sommeil peu réparateur. Cependant, il a cette faculté de pouvoir s’endormir partout en très peu de temps.

Bien sûr, suite à sa vie de bagarres incessantes, il a quelques cicatrices. Sa préférée, et c’est très cliché, est celle qui barre le coin extérieur de son sourcil gauche, à un centimètre de la fin. Il trouve ça classe, que voulez-vous.

Concernant son style vestimentaire, Noah est simple tout en étant compliqué.
Oui, c’est vague.
Il déteste se sentir étriqué et serré dans ses vêtements. Voilà pourquoi il porte généralement des affaires une taille au-dessus de la sienne (sauf pour les sous-vêtements et chaussures). Il aime que ses habits volent un peu au vent.
Généralement, il porte un jean simple, bleu ou noir, ainsi qu’un t-shirt avec un col très ouvert, de n’importe quelle couleur. Il porte, si le temps le nécessite, un manteau à capuche très souple qui descend jusqu’en dessous de ses fesses dont il retrousse les manches. Il met souvent sa capuche lorsqu’il y a des gens autour de lui afin qu’on le laisse tranquille. Il aime les grosses chaussures de rangers qui lui donnent l’air d’avoir des pieds immenses. Il en a une paire noire avec les lacets faits à la va-vite dont il ne se sépare jamais. Il sort parfois de son sac à dos une écharpe à carreaux noire et blanche lorsque le froid se fait trop mordant.
Enfin, il porte deux boucles d’oreille : Un petit anneau noir accroché à chaque lobe.

Ce physique et cette dégaine lui donne un air je m’en foutiste qui lui convient parfaitement.

Surnom : « Aucun, pourquoi donner un nom à ces animaux ? » Espèce : Arcko Genre : Male

Arcko est exactement comme tout le monde s’imagine un Arcko. Calme, posé sur une branche avec une brindille dans la bouche, silencieux et sage. Tout l’inverse de Noah en fait. Il ne voulait pas de ce Pokemon. Il aurait voulu un type feu, fier et puissant, ou un type eau à la limite, vif et dévastateur. Mais non, on lui a refilé un lézard aux grands yeux jaunes. Il n’a rien de spécial, il n’attire pas l’attention. Il est si calme que cela énerve Noah, qui parfois en vient à essayer de le frapper. Mais Arcko, très agile, esquive chacun de ses coups en silence et sans aucune difficulté. Il ne parle que lorsque cela est nécessaire et n’est pas plus attaché à Noah que Noah ne l’est à lui. Sur ce point, ils se ressemblent : Deux solitaires qui n’ont aucune envie d’être ensemble. Peut-être arriveront-ils un jour à s’entendre ?...

C'est quoi ton p'tit nom ? Chloé :3
T'as quel âge ? 22 ans
Comment t'as atterri ici ? J’ai tapé « forum rpg » puis j’ai fouillé dans les sites les réunissant. Je n’avais pas prévu de m’inscrire sur un forum de Pokemon, je cherchais juste quelque chose qui allait me plaire. Et je me retrouve à écrire ma fiche quelques heures plus tard haha.
Nous, on t'aime déjà, mais toi t'as des remarques sur le forum ? Pas spécialement, le système de jeu est complexe mais c’est ça qui me plait. Et puis le staff a l’air vraiment cool o/ Peut-être que l’on pourrait rajouter un système de saison, histoire de savoir où on en est dans l’année ? Ah moins que le forum ne suive les saisons IRL ?
Un dernier mot pour la route ? Petit loup deviendra gentil sisi la famille